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Comment la médiocrité généralisée et l’incompétence des organismes sanitaires bousillent les cerveaux de nos bébés (entre autre…). 

Pour voir l’explication en vidéo : voir l’ALU TOTAL, à partir de 32:34


Définitions à connaître :

  • DJT : Dose Journalière Tolérable

Cette dose représente la quantité d’une substance toxique qu’un individu moyen de 60 kg peut théoriquement ingérer tous les jours, sans risque pour la santé. Elle est habituellement exprimée en mg de substance par kg de poids corporel…

Le calcul de la dose journalière Tolérable pour l’homme est basé sur le seuil maximum de consommation au-delà duquel les premiers effets toxiques sont observables, notamment chez la souris. Ce seuil est aussi appelé « dose sans effet » (DSE) ou NOAEL : No Observable Adverse Effect Level en anglais. Il sert à fixer le MRL (Minimum Risk Level), le fameux niveau de sécurité à ne pas dépasser.

La DES/NOAEL est généralement déterminée par les expérimentations animales (sur la souris dans le cas de l’aluminium). On obtient alors la DJT en divisant arbitrairement par un facteur 100 à 1 000 la DSE afin de prendre en compte les variations quand on extrapole de l’animal à l’homme. Mais dans le cas de l’aluminium, on divise SEULEMENT par 30… Allez savoir pourquoi.

PROBLÈMES :

1er problème :

Pour les Etats-Uniens (ATSDR), les « premiers effets toxiques observables » correspondent à la paralysie de la souris après ingestion de 26mg/kg/jour d’aluminium (d’après Golub 2001).

Pour les Européens (EFSA), ces « premiers effets toxiques observables » sont plus fins : désorientation, troubles neurologiques, perte de mémoire… troubles atteints à des doses bien inférieures de celles qui provoquent la paralysie : 3,4 mg/kg/jour (d’après Alawdi 2016). Bref, suivant l’organisme sanitaire, nous n’obtenons pas le même niveau de sécurité.

Notons que le ministère de la Santé français et l’Académie de Médecine (et de Pharmacie…) se réfèrent… aux doses de sécurité américains ! Et ça ne gêne personne ?

2ème problème : On applique ces niveaux prévus pour l’adulte aux nourrissons, qui ne sont pourtant pas des adultes miniatures : ils sont bien plus à risque du fait de leur organisme immature, en plein développement… Et ça, c’est extrêmement problématique.

3ème problème : La DJT est calculée pour une unique substance toxique, et ne tient pas compte d’effets synergiques possibles lorsque cette substance est associée à une autre. Les effets cocktails ne sont, quant à eux, jamais pris en compte… (oui, nous ne sommes pas soumis à un seul toxique à la fois, mais à de multiples toxiques, chaque jour).

  • Adjuvants d’aluminium : Les adjuvants d’aluminium sont ajoutés à la composition des vaccins pour provoquer la réaction immunitaire : ils sont donc très pro-inflammatoires (enfin toxiques quoi). Ils permettent de baisser la quantité d’antigènes présents dans le vaccin (et donc de baisser les coûts de production). Il y a 2 sortes d’adjuvant d’aluminium dans les vaccins pédiatriques : l’Hydroxyde d’Aluminium (Infanrix Hexa, Hexyon, Neisvac, Menjugate…) et le Phosphate d’aluminium (Infanrix Hexa, Prévenar…). Le ROR est un vaccin à virus vivants : il ne contient pas d’adjuvant.

 

  • Charge corporelle en aluminium du nourrisson : c’est la quantité d’aluminium présente dans le corps du nourrisson, à un temps donné. L’aluminium étant un puissant toxique (et même neurotoxique), plus la charge d’aluminium est importante, plus le risque de développer des troubles augmente. Une forte charge en aluminium est un signal de danger très alarmant pour le développement du nourrisson (et en particulier, son développement neurologique). Du fait de son extrême bio-persistance (l’aluminium reste dans le corps pendant des mois, voire des années, suivant les personnes), l’aluminium représente un risque majeur de troubles du développement pour le nourrisson.

 

  • Calendrier Vaccinal Etats-Unien VS Calendrier Vaccinal Français : la seule étude officielle qui a tenté de définir la charge corporelle en aluminium du nourrisson est une étude américaine (Mitkus 2011). Ses calculs théoriques sont donc basés sur le calendrier vaccinal américain. Mais depuis que 11 vaccins sont obligatoires en France, nous injectons à peu près les mêmes doses d’aluminium à nos nourrissons (ce n’est pas une bonne nouvelle… sachant que les enfants américains ont une santé déplorable : 54% des enfants souffrent d’une maladie chronique, d’après le ministère de la santé américain).

Alors, pourquoi pouvons-nous parler d’Overdose Obligatoire d’Aluminium ?

 

  1. Une seule étude officielle garantit l’innocuité des doses injectées chez le nourrisson

 

Une seule et unique étude a été réalisée à ce jour, pour tenter de quantifier la charge en aluminium théorique des nourrissons, notamment via la vaccination. Cette étude, Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.17.pngappelée MITKUS 2011, a été produite par la Food and Drug Administration états-unienne. Voici les courbes de charge corporelle des nourrissons, établies par Mitkus.

Courbes de la charge corporelle du nourrisson, due au Phosphate d’Aluminium des vaccins (en noir sur la courbes). Les niveaux de sécurités sont en bleu et rouge.

Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.32.png

Courbe de la charge corporelle du nourrisson, due à l’Hydroxyde d’Aluminium des vaccins (en noir sur la courbes). Les niveaux de sécurités sont en bleu et rouge.

Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.32.png

Notons tout de suite que Mitkus ne tient uniquement compte que de l’aluminium qui transite par le sang pendant le mois qui suit l’injection (car Mitkus se base sur les taux d’absorption de l’étude in vivo de Flarend 1997, qui n’a duré qu’un mois, et n’a porté que sur 4 lapins) : pour résumer, Mitkus n’affiche sur ses courbes que 17% de l’hydroxyde d’aluminium, et 51% du phosphate d’aluminium, ce qui est une faute grave de raisonnement (ou une manipulation honteuse, au choix). Pour en savoir plus, voir l’argument 3 de l’ALU TOTAL sur Youtube.

 

Notons également que Mitkus sépare le Phosphate d’Aluminium de l’Hydroxyde d’Aluminium, alors que les deux sels d’aluminium sont injectés le même jour aux nourrissons via la vaccination. Il aurait donc fallu ADDITIONNER les courbes, évidemment, pour déterminer la charge corporelle TOTALE en aluminium.

 

2. Le niveau de sécurité appliqué dans l’étude de MITKUS est le niveau américain ATSDR qui est un niveau obsolète

La NOAEL appliquée dans l’étude de MITKUS, et qui détermine le Niveau de Risque Minimal (MRL) est celui de l’ATSDR américain, déterminé par une unique étude empirique datant de 2001 (Golub 2001), qui pensait à l’époque que le premier niveau toxique observable correspondait à une paralysie chez l’animal, soit ici 26mg/kg/jour chez la souris, soit l’équivalent d’une NOAEL de 0,86mg/kg/jour pour l’humain (26/30).

Depuis, on sait que l’aluminium provoque de multiples troubles neurologiques à des doses bien plus faibles, avant même d’atteindre la paralysie.

 

3. Appliquons le niveau de sécurité EUROPÉEN à l’étude de MITKUS

Des études plus récentes notent déjà des effets secondaires neurologiques chez la souris pour les doses de 3,4 mg/kg/jour : la DSE/NOAEL de 0,1 mg/kg/jour n’est donc probablement pas une NOAEL sérieuse, mais c’est à ce jour la plus basse retenue.

EFSA - TITRE

Ainsi, en Europe, l’European Food Security Agency (EFSA) a fixé la NOAEL de l’aluminium en 2008 à 0,1 mg/kg/jour (soit 0,7 mg/kg/semaine), soit pour la souris l’équivalent de 3mg/kg/jour (7 fois moins que le niveau retenu par l’ATSDR !)

efsa-dose-secu.png

PAr comparaison, L’OMS avait choisi la même NOAEL avant de multiplier ce taux par deux, pour une raison inconnue, en 2011 (DJT actuelle de 2mg/kg/semaine).

OMS - dose secu.png

Si on applique le niveau européen à l’étude de Mitkus, voici ce qu’on obtient :

MITKUS courbe avec EFSA.png

Il est évident que les doses d’aluminium injectées aux nourrissons dépassent OFFICIELLEMENT, au moins pendant la première année de vie du nourrisson, les niveaux de sécurité européens. D’autant qu’il ne faut pas oublier d’ADDITIONNER LES 2 COURBES.

Les nourrissons qui suivent le calendrier vaccinal sont donc soumis à des doses toxiques d’aluminium, de façon chronique, pendant au moins la première année de vie.

Sachant que l’aluminium est un puissant neurotoxique, qu’il est extrêmement biopersistant (il reste dans le corps pendant des mois, voire des années) et qu’il est démontré expérimentalement qu’il migre jusqu’au cerveau par le biais des macrophages (Flarend 97, Khan 2013, Crépeaux 2017…), l’aluminium apparaît comme le suspect numéro dans l’apparition des troubles neuro-développementaux que l’on observe aujourd’hui (cf. article Aluminium et autisme).

 

BREF : injecter un neurotoxique à un être en plein développement neurologique relève de l’inconscience la plus criminelle. C’est irresponsable au plus au point.

D’autant qu’il s’agit ici de calculs théoriques : chaque bébé a un seuil de tolérance différent, et on sait que les garçons sont bien plus sensibles que les filles à cet âge (les bébés féminins sont biologiquement plus matures que les garçons, à âge égal).

D’autant que la toxicité des adjuvants d’aluminium ne relève pas uniquement de la toxicité chimique (« la dose fait le poison »). Du fait de sa forme particulaire, les adjuvants d’aluminium relève également de la toxicité des particules fines : « la particule fait le poison », et c’est alors notamment la taille de la particule qui va avoir un impact toxicologique important. Or les plus fines particules se retrouvent dans les doses les plus faibles d’aluminium.

Attention, il serait erroné de penser que de fortes doses seraient de fait moins nocives : la toxicité de l’aluminium peut être extrêmement retardée. Si les faibles doses provoquent une pénétration cérébrale à court terme (dans les semaines suivants l’injection), rien ne dit que les fortes doses ne sont pas toxiques à plus long terme. D’autant que la pénétration cérébrale n’est pas la seule cause de troubles imputés aux adjuvants d’aluminium (allergies, asthme, maladies auto-immunes, fatigue chronique, voire cancer).

 

Spoiler alerte :

Fin 2017, la FDA a retiré en catimini l’étude de MITKUS qui n’est plus référencée sur son site : elle est donc de facto, obsolète. Mais le CDC américain, l’une des plus hautes autorités sanitaires au monde, continue de la citer en référence. Aucune autre étude officielle n’a été réalisée à ce jour sur ce sujet… capital.

 

PAR AILLEURS :

Le Ministère de la Santé français ne s’embarrasse pas de tels détails : ils font beaucoup plus simple pour tenter de s’auto-persuader que les doses d’aluminium injectées ne posent aucun problème pour le développement neurologique du nourrisson.

Attention, ce qui va suivre peut heurter l’intelligence des personnes raisonnables. Vous êtes prévenus.

Le ministère de la santé (dans un courrier envoyé au Conseil d’Etat, notamment) dit que chaque dose de vaccin respecte la « limite autorisée » de 0,85 mg d’aluminium par vaccin.

Mais d’où vient cette valeur de 0,85 mg ? Et surtout à quoi correspond-elle ?

Pour le savoir, il faut relire les minutes de la conférence historique de Porto Rico, en mai 2000, intitulée « Aluminum in vaccines », organisée par la puissante HHS américaine (une espèce de Super « ministère de la santé » dont dépendent entre autres la FDA, le CDC et le NIH) et réunissant tous les spécialistes mondiaux des adjuvants.

conference - TITRE

Au cours de la conférence (p.46-47), le spécialiste de la FDA Norman Baylor affirme que les doses d’aluminium des vaccins ne dépassent généralement pas la quantité de 0,85 mg d’aluminium par dose de vaccin. Un membre du NIH (National Institut of Health), le Dr Gerber (immense merci à lui !) pose alors LA question fatidique au Dr Normal Baylor

Dr Gerber : « Norman, le standard de 0,85 mg d’aluminium par dose, fixé par le Code Fédéral de Réglementation, pouvez-vous nous dire d’où cela vient et comment a-t-il été déterminé ?

            Dr Baylor : « Malheureusement, je ne peux pas. Je veux dire, nous avons essayé de savoir d’où cela vient. Nous avons essayé de trouver d’où vient cette valeur en consultant les archives et en déterminant comment ils ont trouvé cette valeur, en revenant au préambule de la réglementation. Nous n’avons pas pu trouver de réponse mais nous continuons à chercher ».

Les minutes de la conférence sont consultables à ce lien  (voir p. 46-47) :

https://www.autismhelpforyou.com/AL%20-%201.pdf

Oui oui, vous avez bien lu : les ministères de la Santé du monde entier affichent fièrement la dose de 0,85 mg d’aluminium par vaccin comme étant une dose de sécurité, alors qu’il s’agit, très probablement, d’une dose de rentabilité pour les industriels. Il ne peut en aucun cas s’agir d’une dose de sécurité, dose qui nécessite un protocole particulier pour être fixée (après observation d’une Dose Sans Effet ou NOAEL chez la souris).

 

Par ailleurs, au cours de cette conférence, le Dr Baylor, toujours lui, nous informe que les adjuvants sont inutiles dans les rappels ! Mais que les industriels préfèrent ne fabriquer qu’un seul produit, plutôt que deux (qui aurait, par ailleurs, à subir des tests de toxicités, donc un coût supplémentaire).

 

Ah oui, et pour ceux qui pensent que les sels d’aluminium sont inoffensifs pour l’organisme en les comparant au chlorure de sodium (le sel de table)… eh bien, je les invite à goûter de l’hydroxyde de sodium, pour voir, et on en reparle…