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Vaccination de masse et logique sacrificielle

Vaccination de masse et logique sacrificielle

Quinze ans pour faire reconnaître les droits d’une infirmière vaccinée par obligation professionnelle, probablement autant pour pouvoir peut-être recevoir la compensation financière de celle-ci ? Mais alors, si les victimes des vaccins ne peuvent ni préjuger de leurs effets indésirables possibles au moment des injections ni toucher leurs indemnisations en temps utile, comment peut-on éthiquement défendre le principe de la vaccination obligatoire ?

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Les blessés de guerre ont une place définie dans la société. Leur terrible malheur est transmuté en Honneur par la « Nation reconnaissante ». S’ils y perdent un membre ou la santé, ils gagnent une pension, une médaille, voire une statue, bref un statut. Et même une place réservée dans le métro.

« Nous sommes en guerre »

Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous sommes en guerre. M. Macron l’a même affirmé en direct à la télé. Certes, une guerre d’un genre nouveau, mais une guerre malgré tout.

L’idéologie qui impose cette guerre est extrêmement simpliste, terriblement violente et diablement efficace. Elle tord la réalité pour nous faire croire qu’il ne peut y avoir qu’un seul et unique problème qui mérite toute notre attention.

Ce problème ne peut être réglé que par une seule et unique solution (brevetée), véritable panacée : une « vaccination » expérimentale universelle. C’est trop simple : « il n’y a pas d’alternative », le credo néolibéral par excellence.

Et puis, quand on y pense, la vaccination de masse n’est-elle pas intrinsèquement totalitaire ? Non seulement elle vise la soumission totale des individus et ne peut s’imposer que par coercition, terreur, propagande et autres bons pour une bière gratuite …

Mais surtout, il s’agit de l’intrusion ultime dans l’intime : la modification forcée et potentiellement irréversible de l’organisme de chaque Humain.

Et peu importe notre singularité : femme enceinte, vieux diabétique, bébé baveux ou jeune athlète, nous avons tous droit au même produit standardisé (breveté). La différence biologique est simplement niée.

Ne serait-ce pas là le commencement de la déshumanisation, et la porte ouverte aux pires atrocités ?

Alors imaginons un instant… Que se passerait-il si l’on ne produisait qu’une seule taille de chaussure afin de simplifier les chaînes de production et d’augmenter les rendements ? Beaucoup de gens auraient mal aux pieds… des « anti-chaussures » à n’en pas douter.

La logique de la standardisation génère forcément des œufs cassés. Que faire de ces très très rares victimes de la standardisation industrielle ?

Une logique sacrificielle

Pour faire passer la pilule, on affirme que ces sacrifiés sont « acceptables » au regard du « bien commun ». De nombreux outils « scientifiques » sont là pour recenser, accompagner, dédommager les œufs cassés : pharmacovigilance, balance bénéfice-risque, ONIAM… tout un arsenal spécialement dédié. Et on jure sur ses grands dieux que de tels œufs sont très très rares… voire inexistants.

1. La Pharmacovigilance

Même Martin Blachier, pourtant ardent défenseur des vaccins, le reconnaît : la pharmacovigilance est incapable de déceler plus de 10% grand maximum des effets indésirables des médicamentsprobablement autour des 1% dans le cas des vaccins. On le sait, on le dit depuis longtemps, ce système obsolète cumule les aberrations et les défauts.

Les vaccins en particulier bénéficient d’avantages que les Humains ont perdu depuis longtemps comme la présomption d’innocence, même s’il existe de nombreuses preuves du contraire, mais ils bénéficient aussi :

– D’une véritable « dissonance cognitive » de la part des médecins, incapables d’envisager ne serait-ce que la possibilité qu’un vaccin (n’importe lequel) puisse causer des drames.

 Par voie de conséquence : la méconnaissance par le corps médical des effets graves relevés dans la littérature scientifique par les chercheurs académiques ou les associations de victimes… voire des effets graves inscrits dans la notice, ce qui expliquerait leur incapacité à reconnaître que les pleurs inconsolables d’un nourrisson, à la suite de ses vaccins obligatoires, peuvent être le signe d’une inflammation cérébrale.

– La passivité du système de déclaration : de fait, si on refuse d’entrevoir un lien de causalité, rien n’est déclaré par le soignant. Quant aux victimes elles-mêmes, elles chercheront d’abord à se soigner. Déclarer l’effet ne vient pas spontanément à l’esprit, pour peu que le lien avec l’injection soit envisagé.

– Une extrême difficulté à déclarer un effet : obsolescence des plateformes qui peuvent saturer, difficultés d’accès, dossiers qui disparaissent… Sur ce point, le Réseau des Victimes d’Accidents vaccinaux (REVAV) a beaucoup à nous apprendre.

Reconnaître les effets indésirables de tout médicament est pourtant fondamental à plus d’un titre :

  • À titre médical, afin de favoriser les diagnostics et de développer des thérapies idoines
  • À titre juridique, afin d’évaluer et de reconnaître les dommages, et de les indemniser.
  • À titre humain, afin d’aider la victime à surmonter son traumatisme.
  • À titre politique, pour évaluer le vrai coût des risques… et des campagnes de vaccination.

Ainsi, la fameuse balance bénéfice-risque est truquée à la base, reposant sur des données pourtant officiellement reconnues comme peu fiables.

Comme le dit le médecin québécois René Lavigueur dans sa lettre ouverte publiée dans le journal La Presse (censurée dès le lendemain) à propos des vaccins anti-covid : « Pourquoi ignorer (…) le risque de ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins ? »

Très bonne question.

2. L’ONIAM

Dans le cas d’une simple recommandation vaccinale, si vous êtes victime d’un effet grave, vous l’avez dans l’os. Et bonne chance face aux laboratoires surpuissants.

Dans le cas d’une vaccination obligatoire, il existe en France un système d’indemnisation dédié, en cas d’accident vaccinal : l’Office national d’Indemnisation des Accidents médicaux. Car bien évidemment, on ne va pas demander aux laboratoires de prendre la responsabilité de la sécurité de leurs produits… ce ne serait pas bon pour les affairesC’est à la solidarité nationale d’assumer les « blessés de guerre ».

On privatise les bénéfices et on mutualise les pertes.

Le business plan parfait.

Étude de cas :

Mme L. était infirmière. Dans le cadre de sa profession, elle a reçu de multiples vaccinations obligatoires contenant de l’aluminium. Dès 2007, elle rencontre divers troubles neurologiques et en 2009, elle reçoit un diagnostic de Myofasciite à macrophages (MFM), un syndrome de fatigue chronique accompagné de douleurs musculaires et de troubles neurologiques, causé par une biopersistance des adjuvants aluminiques au sein des macrophages, qui migrent partout dans l’organisme via les voies lymphatiques, et peuvent même traverser la barrière hémato-encéphalique… avec leur dangereuse cargaison.

Ce type d’information cruciale, vous ne la trouverez dans aucun rapport officiel. Non, officiellement, les macrophages restent gentiment au site d’injection, l’adjuvant aluminique s’élimine par magie en quelques jours, les doses sont riquiquies et c’est bien connu, seule la dose fait le poison… Et puis, on en mange tous les jours, de l’alu ! Et tout le monde sait que « avalé » et « injecté », c’est kif kif en termes de pharmacodynamie.

Pour en savoir (beaucoup) plus : 

youtube.com/watch ?v=tGdkUB8HTM8

Il existe pourtant à ce jour une littérature scientifique internationale de premier plan, plusieurs centaines d’études cliniques, post-mortem, in vivo et in vitro sur la toxicité des particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination qui contredisent formellement ces croyances infondées.

Un parcours du combattant

C’est donc avec confiance que Mme L., épaulée par l’association E3M, dépose un dossier d’indemnisation en 2016 auprès de l’ONIAM. Seulement voilà, l’ONIAM rejette le dossier au prétexte que le lien entre la vaccination et la pathologie n’est pas démontré.

Pour affirmer cela, ses experts s’appuient exclusivement sur le « consensus règlementaire », celui des agences sanitaires officielles qui acceptent les données des laboratoires sans rien vérifier.

Ce consensus règlementaire est bien éloigné de l’état réel des connaissances scientifiques, celui des chercheurs qui étudient sérieusement ce sujet à l’exclusion de tout autre, et qui publient dans les plus grands journaux scientifiques, soumettant leurs travaux à la critique des pairs.

Ces chercheurs assument et signent leurs travaux, contrairement aux « experts » des laboratoires qui imposent leurs résultats de façon anonyme, sans donner accès aux données brutes classées « secret des affaires ».

En clair, la décision de l’ONIAM repose sur une contrefaçon intellectuelle : la confusion entre le consensus règlementaire (généralement fourni par les laboratoires, figé dans le marbre et impossible à vérifier) et le consensus scientifique (l’état des lieux réel de la connaissance, en perpétuelle évolution).

Ainsi, sur le sujet des adjuvants aluminiques, le consensus règlementaire toujours en vigueur est de considérer que les particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination ne posent aucun problème, surtout pas chez le nourrisson en plein développement neurologique… surtout pas en lien avec l’autisme.

Mais le plus amusant, c’est que pour affirmer cela, les agences s’appuient sur une rhétorique totalement anti-scientifique, pour ne pas dire magico-religieuse.

En effet, tout l’argumentaire règlementaire des agences ne repose que sur une seule et unique étude in vivo… portant sur 4 lapins étudiés pendant un mois… et qui observe systématiquement une pénétration cérébrale des particules neurotoxiques.

Ne serait-ce pas là un premier indice, conforté par de nombreuses études récentes de « plausibilité biologique » pour de potentiels troubles neurologiques ? Pas pour les agences sanitaires.

Mme L. ne lâche pas. S’en suit des années de procédures, véritable calvaire pour des personnes épuisées physiquement, mentalement, financièrement : le Tribunal administratif de Caen condamne l’ONIAM, qui fait appel. Report du dossier en cour administrative d’appel de Nantes qui annule le jugement. Déjà 6 ans de procédures, et rien n’est encore gagné. Tout est fait pour décourager les victimes : allongement et coûts des procédures, refus des experts d’étudier la littérature scientifique, confiance quasi religieuse dans les leaders d’opinion et les agences sanitaires, question des délais de survenue des effets indésirables, question d’imputabilité… Sans les associations de victimes, l’implication de juristes spécialisés et une bonne dose de chance, c’est peine perdue.

3. Le Conseil d’État

Dernier espoir : le Conseil d’État.

Saisi en 2019, l’institution vient de rendre son verdict, estimant que la cour administrative d’appel avait commis une erreur de droit, et que « pour écarter toute responsabilité de la puissance publique, il appartenait à la cour, non pas de rechercher si le lien de causalité entre l’administration d’adjuvants aluminiques et les différents symptômes attribués à la myofasciite à macrophages était ou non établi, mais de s’assurer, au vu du dernier état des connaissances scientifiques en débat devant elle, qu’il n’y avait aucune probabilité qu’un tel lien existe ».

Depuis 2012, le Conseil d’État a rendu 12 arrêts en faveur des victimes de MFM. En clair, l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est annulé : Mme L. devrait être indemnisée… Un jour… Car l’ONIAM ne semble pas être un organisme favorable aux victimes d’accidents médicaux. Bien au contraire, il semblerait que la gestion de cet argent public sente le souffre : prise illégale d’intérêts, abus de confiance, malversations, impayés envers des victimes dont le dossier a pourtant été accepté… Un scandale qui perdure.

Maître François Jégu, chargé de l’affaire de Mme L., souligne que « la jurisprudence est en cours d’édification » dans le but également de faire progresser l’indemnisation des vaccinations non obligatoires qui se fait par voie contentieuse, face à des acteurs d’une extrême puissance.

L’ONIAM ne peut plus se retrancher derrière l’avis (obsolète) des agences sanitaires pour écarter toute demande.

Il paraît raisonnable de considérer qu’un « faisceau de preuves concordantes » devrait suffire pour accorder une indemnisation, et qu’il ne s’agit pas ici d’un tribunal pénal où les preuves formelles d’imputabilité, impossibles à obtenir pour ce type de produit, seraient exigées.

Ce n’est pas comme si les laboratoires étaient condamnables, de toute façon.

Pourquoi de tels dysfonctionnements ?

On voit clairement qu’un organisme comme l’ONIAM est conçu pour protéger les laboratoires et les décisions politiques, le système en place.

Après tout, reconnaître les victimes vaccinales, c’est reconnaître les défauts des politiques de santé publique. C’est poser la question de la responsabilité politique (que l’idéologie néolibérale a totalement dissoute), la question des compromissions d’intérêts des leaders d’opinion, de l’indépendance des agences sanitaires, du pouvoir pharamineux qu’exercent les laboratoires sur le monde de la santé (entre autres).

Du coût réel de ces mesures, en termes de vies gâchées, en termes de dépenses engagées.

Alors que faire ?

Lors d’un colloque portant sur le droit des victimes d’un effet indésirable de médicament, l’universitaire Laurent Bloch fait des recommandations concrètes :

  • La pharmacovigilance devrait être indépendante des structures étatiques, organisée par un groupe de citoyens et d’associations.
  • Les comités d’experts doivent être totalement indépendants de l’industrie. Ils doivent exercer dans leur champ précis de compétences et s’exprimer exclusivement sur l’objet de leurs recherches.
  • Le fonds d’indemnisation prévu devrait être financé par les laboratoires : l’ONIAM serait uniquement chargée de distribuer ce fonds. Le contrôle de la gestion de ce fonds devrait être renforcé.
  • Le doute devrait bénéficier aux patients : la charge de la preuve doit porter sur les laboratoires et le produit doit être « présumé coupable » jusqu’à preuve du contraire.
  • En clair il faut revoir toute la législation…

Sans ces réformes, les victimes sont condamnées à subir cette violence institutionnelle et à gérer, en plus de leurs soucis de santé, un poids moral et financier épuisant.

Le cas des vaccins anti-covid

En France, c’est également l’ONIAM qui prend en charge les accidents liés aux vaccinations anti-covid, au titre des articles L3131-0 à L3131-4 du Code de la Santé publique. Au vu des difficultés rencontrées par les victimes des vaccins obligatoires, il y a de quoi être très inquiet.

Au moins 21 demandes d’indemnisation ont été déposées à l’ONIAM concernant des dommages liés aux vaccins anti-covid. Sur ces 21 dossiers, 2 ont été rejetés, 4 font l’objet d’une mission d’expertise médicale et 15 sont en cours d’instruction… Il est précisé que l’ONIAM dispose d’un délai de 6 mois pour se prononcer sur chaque dossier…

L’exemple des victimes de la vaccination H1N1 de 2009, souffrant notamment de narcolepsie, un trouble extrêmement handicapant, n’augure rien de bon.

Après 11 années, sur les 173 demandes déposées à l’ONIAM (l’avocat d’une victime affirme à lui seul détenir plus de 250 dossiers…) 57 seulement ont, à ce jour, reçu une indemnisation.

55 victimes ont été forcée de saisir la justice pour faire avancer leur dossier. Un véritable calvaire pour des victimes épuisées. L’ONIAM n’est-il pas censé simplifier et accélérer les procédures « amiables, rapides et gratuites » précise le site internet de l’établissement.

Au lieu de ça, on nage dans l’arbitraire le plus total : l’ONIAM décrète quelle marque de vaccin il indemnise ou pas, ce qui est imputable ou non au vaccin (on rappelle qu’il est le payeur). Il choisit les délais d’apparition des effets indésirables les plus courts possibles… et les montants versés sont systématiquement revus à la baisse, à l’encontre des préconisations de ses propres experts… Quand les victimes reçoivent effectivement leur indemnisation…

Conclusion

Bien sûr, on pourrait tiquer sur le fait que les vaccins, et notamment les vaccins anti-covid, ont été financés avec l’argent public en termes de recherche et de pré-achat : les profits et les brevets, eux, restent bien privés. C’est encore l’argent public qui servira à indemniser les victimes.

Pile on perd, face ils gagnent.

Les victimes des effets indésirables des vaccins sont livrées à eux-mêmes et devront, in fine, supporter seules la charge d’effets parfois très graves pour leur santé et leur vie. Elles devront supporter seules les longues procédures d’indemnisation et l’impact psychologique et financier que tout cela génère. Devant autant de dysfonctionnements, il paraît absolument évident qu’aucune obligation vaccinale ne devrait être imposée à la population, de quelque façon que ce soit, et que chacun devrait pouvoir estimer sa propre balance bénéfice-risque, de façon éclairée et posée, pour ne pas avoir à dire « si seulement j’avais su… »

article publié sur le site : https://www.aimsib.org

Autopsie d’un assassinat scientifique

            On le sait, étudier la toxicité d’un produit industriel n’est pas la meilleure façon de booster une carrière. On a même tendance à se faire quelques ennemis. Dans le cas très particulier de la toxicité de l’aluminium, c’est pire, vous vous mettrez à dos toutes les industries : agro-alimentaire, cosmétique, pharmacie, services de traitement de l’eau potable, pour ne citer qu’elles. Autant dire qu’il faut être sacrément motivé pour s’attaquer au sujet[i].

Nous vivons à l’âge de l’aluminium[ii]  

            L’alu, on en boit, on en mange, on en respire tous les jours. Et comme si cela ne suffisait pas, on nous l’injecte directement dans l’organisme ! Cela a des conséquences dramatiques sur notre santé. Bien plus que ce que l’on imaginait, il y a peu. Et rien ne peut démontrer le contraire.

            Rappelons si besoin que l’aluminium est neurotoxique, cancérigène, mutagène, il est suspecté de provoquer des troubles du neuro-développement[iii] chez le jeune enfant (dont l’autisme), des troubles neurodégénératifs[iv] chez les personnes plus âgées (l’aluminium est aujourd’hui utilisé par la recherche pour provoquer Alzheimer chez la souris[v]), des troubles auto-immuns et des allergies en pagaille. Il est également capable d’inhiber 200 fonctions biologiques importantes[vi], comme les fonctions mitochondriales[vii], altère la neurotransmission et les fonctions synaptiques, abîme la barrière hémato-encéphalique, et provoque globalement un stress oxydatif partout où il se loge…[viii]

            Alors quand le spécialiste mondial de l’aluminium vous dit que « sans aluminium, il n’y aurait pas d’Alzheimer »[ix], il serait rationnel de le prendre au sérieux, d’autant que ses travaux pourraient changer littéralement l’avenir de la santé publique… et pour pas cher, en plus.

Monsieur Aluminium

            Le spécialiste incontesté de la toxicité de l’aluminium, c’est Chris Exley, professeur de biochimie inorganique à l’université de Keele, en Angleterre. Il se passionne depuis près de 40 ans pour ce métal très particulier et a publié plus de 200 études sur le sujet, dans les meilleures revues. Grâce à son travail acharné, nous sommes en mesure de comprendre l’étendue et la gravité des problèmes que cause cette écotoxine, sur la santé comme sur l’environnement.

            Aujourd’hui, le Pr Exley est stoppé net dans ses recherches : inattaquable sur le terrain de la science, c’est sur celui des financements qu’il est visé. L’université de Keele vient de supprimer l’accès à son site Internet compilant l’intégralité de ses travaux, ainsi que ses sources de financement. Un arrêt de mort pour ses recherches.

Voilà comment s’opère de nos jours un assassinat scientifique.

« Fabrique du doute » par les industriels

            Jusqu’à maintenant, la stratégie industrielle avait fait ses preuves : quand un produit est accusé d’être toxique, l’industrie crée une fausse controverse et fait germer le doute dans l’esprit du public.

            Opposer à chaque chercheur-lanceur d’alerte, d’autres chercheurs “négateurs” liés à l’industrie, à chaque étude alarmante, une étude bidon[x] ou une “étude missile” bourrée d’attaques ad hominem… Le but est de retarder au maximum un savoir émergent en multipliant les informations non étayées sur des connaissances scientifiques dignes de ce nom. Un exemple ? L’utilisation systématique de placebos à l’aluminium pour évaluer la sécurité… des vaccins à l’aluminium[xi] est un biais inadmissible.

            Faire durer l’illusion du débat scientifique retarde au maximum les prises de conscience ainsi que toute décision politique. Et pendant ce temps, c’est le public qui trinque.

« Fabrique de l’ignorance » par les autorités sanitaires

            Évidemment, les autorités sanitaires jouent un rôle crucial dans cette fabrique du doute qui favorise l’ignorance (absence d’études) et les fausses informations (études biaisées). Comme le signalait le rapport de l’IGAS sur l’affaire du Médiator, le doute généré artificiellement “bénéficie systématiquement aux firmes”[xii]. Il n’est pas rare qu’une étude biaisée financée par les industriels ait plus de poids à elle-seule que l’ensemble des études indépendantes. Ainsi, l’OMS n’a utilisé qu’une seule et unique étude[xiii], financée par le lobby de l’aluminium himself, pour fixer la DHT[xiv] du métal… censé garantir son innocuité[xv].

            Mais les industriels sont allés plus loin, et comme le disait déjà Socrate dans son Apologie : “ils souhaitaient associer à leurs crimes un maximum de citoyens”. 

            Et c’est vrai : quoi de mieux qu’un pacte de sang pour garantir la coopération des autorités chargées de nous protéger ? L’exemple emblématique de cette aberration est bien sûr la question des vaccins. En cas d’obligation, c’est l’État qui est tenu responsable des inévitables accidents : il n’a donc strictement aucun intérêt à ce que ces accidents soient identifiés, répertoriés, analysés… indemnisés. Ainsi, nos systèmes de pharmacovigilance sont officiellement inefficaces[xvi] et toute tentative d’automatisation ou d’amélioration du système[xvii] est tuée dans l’oeuf, comme en témoigne un article très dérangeant du NY Times[xviii] au sujet de l’impossible surveillance des « vaccins anti-covid ».

            Les Autorités sanitaires ne financent donc quasiment pas les recherches qui pourraient révéler un scandale sanitaire les impliquant : étudier la sécurité des vaccins et de leurs composants est donc considéré comme une hérésie au sens religieux du terme. Et voilà comment on fabrique de l’ignorance.

            Et pendant ce temps, c’est le public qui trinque.

Une solution : le crowdfunding

            Alors le public en a assez : et pourquoi ne pourrions-nous pas décider nous-mêmes de ce qui doit être étudié ? Après tout, on est au 21ème siècle ! Et avec le développement d’Internet, un nouveau mode de financement a pris son essor : le financement participatif, crowdfunding en anglais.

            Des milliers d’anonymes peuvent ainsi faire un don pour un projet fauché qui les intéresse, directement sur des plates-formes dédiées. C’est ainsi que la recherche sur les sujets épineux, en manque de financements publics, a pu progresser de manière phénoménale via un financement participatif de cette foule anonyme.

            L’aluminium fait partie de ces sujets qui inquiètent de plus en plus le public. Le Pr Exley a su attirer l’attention de riches mécènes (CMSRI[xix]) mais aussi de simples particuliers qui voient en lui l’une des rares personnes capables de répondre à leurs interrogations concernant le lien entre l’aluminium et diverses pathologies. Malgré le manque de fonds publics, l’équipe de Keele a produit des études absolument majeures avec une expertise inattaquable dans les revues scientifiques. Sur certains blogs et depuis peu dans la presse mainstream, il est considéré comme l’homme à abattre.

La question du financement

            En France, pour obtenir que l’ANSM finance une seule étude sur la pharmacodynamie des adjuvants aluminiques, il a fallu que des victimes de l’association E3M, en très mauvaise santé, fassent une grève de la faim ![xx] Et c’est là qu’on a pu constater qu’en effet, les particules d’aluminium injectées pouvait entrer dans le cerveau des souris testées[xxi], de quoi tirer l’alarme[xxii].

            En Angleterre, devant le refus des autorités de financer les recherches du Pr Exley, des citoyens ont décidé d’agir en ouvrant un compte de financement participatif sur le site GoFundMe. Peine perdue : en avril 2019, le site met fin à cette campagne de financement en clôturant abusivement ce compte. Heureusement, les donateurs pouvaient encore passer par le site de l’université de Keele pour effectuer leurs dons.

            La recherche a pu avancer et plusieurs études très importantes ont été publiées entre 2018 et 2020, sur les adjuvants mais également sur la  maladie d’Alzheimer ou la sclérose en plaques.

Des découvertes majeures

            L’équipe du Pr Chris Exley a mis au point un protocole dédié spécifiquement à l’analyse de l’aluminium dans le cerveau humain. Grâce aux dons, il a eu accès à diverses banques de cerveaux, afin d’analyser les échantillons de personnes atteintes d’Alzheimer[xxiii], d’autisme[xxiv], de sclérose en plaques[xxv], comparant leur teneur en aluminium à celle de cerveaux sains[xxvi].

« Nous pouvons affirmer aujourd’hui que la charge corporelle en aluminium et ces troubles chroniques sont associés sans doute possible. » [xxvii]

Confirmation de la toxicité des Adjuvants aluminiques

– L’aluminium est un visiteur silencieux : d’un point de vue biologique, l’organisme n’a élaboré aucun processus spécifique pour son élimination, comme il a pu le faire face aux autres métaux toxiques.

– Fin 2017, l’une de ses études[xxviii], téléchargée plus d’un million de fois, fait l’effet d’une bombe dans la communauté scientifique : l’analyse de 5 cerveaux autistes permet d’observer la présence de particules d’aluminium localisées dans la microglie cérébrale, les cellules immunitaires du cerveau (aluminium intra-cellulaire), à des taux extrêmement élevés.

Cette observation est cohérente avec l’ensemble des travaux effectués sur les adjuvants aluminiques. L’origine de cet aluminium particulaire est très probablement vaccinal et même si cette étude ne le dit pas et n’est pas conçue pour démontrer une causalité, d’autres aujourd’hui sont en mesure de démontrer cette plausibilité biologique[xxix] [xxx]. Le minimum serait donc de poursuivre les recherches… et non de les réduire au silence !

– L’équipe confirme également cette capture des adjuvants (aluminium particulaire) par les macrophages telle qu’elle a pu être décrite par l’équipe de recherche française des Pr Gherardi et Authier.[xxxi]

– Les adjuvants capturés par les macrophages ont accès au cerveau du nourrisson, notamment parce qu’ils ne sont pas filtrés par les reins (contrairement à l’aluminium soluble)[xxxii].

– Les injections d’adjuvants aluminiques doivent être considérées comme une intoxication aigüe pour les nourrissons[xxxiii].

Une magnifique photo d’un macrophage plein de particules d’adjuvants aluminiques [xxxiv]

Pas d’Aluminium, pas d’Alzheimer


– Sans l’aluminium, il n’y aurait pas d’Alzheimer[xxxv]. L’aluminium est alors retrouvé sous forme ionique, soluble Al3+, à l’extérieur des neurones. Cet aluminium s’est accumulé dans le cerveau tout au long de la vie par l’alimentation et nos boissons principalement, jusqu’à atteindre un « seuil critique » (environ 3 microgrammes/gr de poids sec) considéré comme pathologique[xxxvi].
– Ces études sur Alzheimer observent une association spécifique entre l’aluminium et 2 marqueurs de la maladie d’Alzheimer : les plaques séniles et les enchevêtrements neurofibrillaires. Dans la forme héréditaire d’Alzheimer, on retrouve une association forte entre l’aluminium et les protéines Béta-amyloides (observées dans des cohortes colombiennes et anglaises). Les taux d’aluminium retrouvés dans ces cerveaux sont les plus forts taux jamais observés.

– Les cerveaux ne souffrant d’aucun trouble neurologique contiennent significativement moins d’aluminium que ceux qui ont souffert de la maladie d’Alzheimer sporadique (p=0,0006), de la forme héréditaire d’Alzheimer (P=0,0020), d’autisme (P=0,0123) et de Sclérose en plaques (P<0.0001). [xxxvii]

            Ces dernières années, la science portant sur les effets de l’aluminium s’est donc considérablement étoffée[xxxviii]… dans un silence médiatique assourdissant. Pour les industries de l’aluminium, il fallait réagir.

Contre-attaque des industriels

            En juin 2019, le Guardian publie un premier article[xxxix] qui s’attaque directement à ce dangereux professeur « anti-vaccin ». Un bel exemple de fabrique du doute.

            Face au spécialiste mondial de l’aluminium, le journaliste oppose ce cher Paul Offit, inventeur d’un vaccin contre le Rotavirus[xl], opposé à l’usage des vitamines[xli]… mais pas du DDT[xlii] ! M. Offit ne connaît strictement rien au sujet complexe de l’aluminium injecté : en 2013, il affirmait même que l’aluminium était essentiel pour le développement du nourrisson…

« l’aluminium est considéré comme un métal essentiel (…) On le retrouve dans tous les tissus, et on croit qu’il joue un rôle important dans le développement du foetus ».

Comme quoi la croyance ne remplacera jamais la science.

            En 2019, cet article du Guardian n’a eu aucun effet concret, et le Pr. Exley a pu continuer à travailler. Comme je l’explique dans ma longue vidéo sur le sujet[xliii], il est impossible de démontrer l’innocuité des adjuvants aluminiques chez le nourrisson. Incapables de gagner sur le terrain de la science, les firmes ont décidé de passer à la vitesse supérieure.

Réduire la Science au silence : Mode d’emploi

            L’épine dans le pied des industriels est identifiée : le financement participatif. C’est moderne, c’est démocratique, c’est donc dangereux. La stratégie est simple, elle a déjà marché contre les associations de victimes : qualifier les financeurs et les chercheurs « d’anti-vaccins ». Cette étiquette justifie toutes les censures, autorise tous les abus, en particulier dans le contexte actuel où tous les espoirs les plus fous ont été placés dans ce type de médicament.

            Car c’est bien connu, étudier la sécurité des vaccins, c’est être anti-vaccin. Et dénoncer le BPA dans les biberons… c’est être anti-biberon ?

            En avril 2020, l’avocat Robert Kennedy Jr, connu pour ses combats environnementaux et sa victoire sur Monsanto[xliv], tente de faire un petit don de 15 000 dollars au Pr Exley. Ce don est refusé par l’université de Keele, au prétexte que l’avocat serait « anti-vaccin » et que cela pourrait nuire à la relation de l’Université « avec les financeurs et les partenaires »[xlv] en “générant une couverture médiatique potentiellement négative”…

            Dans le même temps, l’Université a accepté un don de 9 millions de livres sterling de la part d’une société de pari en ligne… C’est sûr, promouvoir des comportements addictifs est beaucoup moins dangereux, politiquement parlant. Et tellement plus classe pour la recherche académique !

L’un des « financeurs » autorisés de l’Université de Keele.

            Mais ce n’était que l’échauffement et c’est à nouveau le Guardian qui va lancer la dernière attaque en date. Début février, le journal s’indigne qu’un odieux « anti-vaccin » puisse travailler tranquillement grâce au financement participatif[xlvi]. Un copier-coller de l’article de 2019, avec d’autres grands noms de la fabrique de l’ignorance, bourrés de conflits d’intérêts et chargés d’attaquer le professeur… sans citer aucune référence scientifique, évidemment, pas besoin.

            Dans le contexte actuel, l’article atteint son but. L’Université réagit immédiatement et suspend le site internet de l’équipe compilant toutes ces recherches – site utilisé par les élèves de l’université – et surtout l’accès à tous financements.

            Motif invoqué ? Le manque de contrôle des dons pour soutenir la recherche du Pr Exley. Le Doyen de l’université a donc décidé que « l’Université ne fournira plus d’installations pour solliciter ou permettre des dons de bienfaisance pour soutenir la recherche dans le domaine de la biochimie inorganique de l’aluminium et ses liens avec les maladies neurodégénératives. Cela comprend les dons d’individus, de groupes, d’organismes de bienfaisance et de fondations et l’utilisation de toutes les installations universitaires ». Seuls les financements émanant de l’industrie ou du gouvernement sont autorisés.  En clair : le groupe de Chris Exley est sommé de vider les lieux pour août !

            Aujourd’hui, toutes les recherches en cours de l’équipe du Pr Exley sont stoppées net. Celles qui portent sur les adjuvants aluminiques, comme celles qui portent sur le lien entre l’aluminium ingéré et Alzheimer… Le plus fou est que les deux tiers de ces recherches n’ont strictement rien à voir avec les vaccins. Elles sont pourtant rangées dans le sac fourre-tout « anti-vaccin ». Pourquoi ?

Travailler sur Alzheimer serait donc… « anti-vaccin » ?

            Dans son livre sorti fin 2020, Chris Exley nous explique que si l’épidémie d’Alzheimer est bien causée par une accumulation d’aluminium dans le cerveau, alors il existe un remède. L’antidote naturel à l’aluminium, l’acide silicique, celui-là même qui a empêché le 3ème métal le plus abondant de la croûte terrestre d’entrer dans le cycle de la vie. Et ce remède est très simple : de l’eau minérale riche en silice, type Volvic, Spritzer ou Fidji…

            « En seulement 12 semaines, boire 1,5 L par jour de Spritzer a amélioré les fonctions cognitives de 3 des 15 patients atteints de la maladie d’Alzheimer qui ont participé à l’étude[xlvii]. Chez les 12 autres, aucune aggravation n’a été constatée. Je mets au défi qui que ce soit de me donner une étude portant sur un médicament contre Alzheimer qui obtiendrait une amélioration des fonctions cognitives chez 20 % des patients en 3 mois. » [xlviii]

            De quoi faire s’effondrer le marché de la maladie d’Alzheimer – 818 Milliards de dollars, au niveau mondial [xlix]… et de quoi peut-être faire disparaître, à terme, cette véritable épidémie – 35 millions de personnes dans le monde[l]. Alors évidemment, quand des profits aussi considérables sont en jeu – sans parler du scandale sanitaire que cela représente – la science doit être réduite au silence.

            C’est un peu comme s’il existait des traitements contre le Sars-cov-2[li] [lii]. Vous imaginez ? L’expérimentation à grande échelle sur la population d’une technologie inédite d’injections d’ARN ou d’ADN ne serait pas autorisée et serait même probablement considérée… comme un crime contre l’humanité, contraire au code de Nuremberg ou à la Convention d’Oviedo.

En guise de conclusion

Monsieur Greenfield,

            C’est avec attention que j’ai lu vos deux articles publiés par The Guardian, visant le laboratoire du professeur Chris Exley. Aujourd’hui, vous êtes parvenu à détruire l’équipe qui était sur le point de mettre fin à l’épidémie d’Alzheimer, de dévoiler le mécanisme secret des particules d’aluminium de certains vaccins, et qui étudiait la toxicité de ce métal sur le vivant.

            Avez-vous seulement conscience que cette écotoxine issue de la pollution industrielle détruit la faune et la flore par son extraction et par les pluies acides qu’elle provoque ? Qu’elle pollue aujourd’hui nos sols, notre air, notre eau, notre alimentation ? Vous qui écrivez quasi exclusivement sur la préservation de l’environnement et des animaux : quelle ironie !

            Saviez-vous que les équipes de recherche étudiant la toxicité de l’aluminium sur la santé humaine (neurotoxicité, cancers, auto-immunité…) se comptent sur les doigts d’une main ? Liquidées, les unes après les autres, par des personnes au service des intérêts industriels, parfois sans le savoir.

            Pensez-vous vraiment que l’Oxford Vaccine Group que vous opposez au Pr Exley soit une autorité objective alors qu’elle participe activement à l’industrie vaccinale, en produisant actuellement avec AstraZeneca un « vaccin » anti-covid ? Vous opposez à des experts de l’aluminium des personnes qui n’ont strictement aucune connaissance dans ce domaine et qui ont des conflits d’intérêts majeurs[liii]. Ce n’est pas acceptable.

            Pouvez-vous percevoir que le terme « anti-vaccin » n’est pas un argument scientifique, qu’il est l’outil de la propagande industrielle pour discréditer toute recherche gênante, la censurer, la détruire…  quand bien même ces recherches n’auraient aucun lien avec la vaccination.

            De bonnes intentions ne suffisent pas, encore faut-il avoir conscience que l’enfer en est pavé. Quand on assassine la science, ce sont des années perdues pour la Santé Publique, des milliards gagnés par les industriels, des victimes toujours plus nombreuses qui n’auront pas profité des connaissances accumulées grâce à notre argent, notre engagement, notre temps.

Vous avez rendu un fier service aux assassins que vous dénoncez dans vos articles.

L’ignorance est pardonnable, mais pas le refus de savoir.


[i] Par exemple, en Angleterre, en 1995, il y avait 25 groupes de recherche sur les dangers de l’aluminium. En 2019, il n’en restait plus qu’un : l’équipe du Pr Chris Exley.

[ii]http://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/09/2014.10-Pr-Exley-Ere-de-laluminium.pdf

[iii]https://alutotal.wordpress.com/2020/01/23/autisme-et-adjuvants-daluminium-des-vaccins/

[iv]https://doi.org/10.3233/jad-200838

[v]Les scientifiques qui cherchent à tester des remèdes contre la maladie d’Alzheimer utilisent dans leurs protocoles l’aluminium soluble pour provoquer Alzheimer, comme on peut le voir dans cet exemple : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/jbt.22519

[vi]Kawahara 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3056430/

[vii]https://www.researchgate.net/publication/334418610_Mitochondrial_toxicity_of_aluminium_nanoparticles_in_comparison_to_its_ionic_form_on_isolated_rat_brain_mitochondria

[viii] Gherardi et al, 2015, https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fneur.2015.00004/full

[ix]Le Pr Exley vient justement de publier un livre dans lequel il compile tout son savoir sur l’aluminium (un véritable guide de survie à “l’Age de l’aluminium”) en anglais pour l’instant – une traduction française a été demandée !

https://www.fnac.com/livre-numerique/a15085682/Christopher-Exley-PhD-FRSB-Imagine-You-Are-An-Aluminum-Atom

[x]https://www.aimsib.org/2020/03/01/comprendre-pourquoi-le-science-washing-est-criminel/

[xi]L’utilisation de placebos à l’aluminium est dénoncée depuis des années par Chris Exley ou Peter Götszche (de l’association Cochrane) et a fait l’objet de plusieurs publications comme celle-ci : https://ebm.bmj.com/content/25/6/213

[xii]http://www.igas.gouv.fr/IMG/pdf/Synthese_MEDIATOR.pdf

[xiii]Poirier et al., 2011, https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0306452211005409

[xiv]Dose Hebdomadaire Tolérable

[xv]Non seulement les doses retenues sont problématiques, mais en plus, cette conception de la toxicologie (“la dose fait le poison”) est complètement dépassée et on sait bien aujourd’hui que le facteur de la chronicité ainsi que celui de la toxicité des faibles doses, des fenêtres de susceptibilité, et dans certains cas, la toxicité propre aux particules, sont autant de facteurs extrêmement importants à prendre en compte.

[xvi] La revue du praticien : https://docdro.id/OTqmcF4

Le rapport américain Lazarus 2011 note que “moins d’1% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement signalés”: https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf

[xvii]https://www.aimsib.org/2020/07/05/quand-lacademie-de-medecine-voit-tout-naturellement-en-nous-des-rongeurs/

[xviii] https://www.nytimes.com/2021/02/12/health/covid-vaccine-how-safe.html

       et aussi :

https://www.nbcwashington.com/news/local/critics-question-vaccine-injury-compensation-program-readiness-as-covid-19-claims-come-in/2573094/

[xix]Le Children’s Medical Safety Research Institute finance la recherche sur la toxicité de l’aluminium, dans les vaccins mais aussi dans l’ensemble de l’environnement, en lien avec diverses pathologies. Il est donc de facto considéré comme  une organisation anti-vaccin… Même s’il finance aussi la recherche sur Alzheimer (sans rapport avec les vaccins).

[xx]https://www.midilibre.fr/2012/11/26/des-patients-organisent-une-greve-de-la-faim-contre-l-aluminium-dans-les-vaccins,600994.php

[xxi]Khan 2013 https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/12/2013.04-Zakir-Khan-FR.pdf mais aussi Flarend 1997 (chez le lapin) ou Weisser 2019 (chez le rat)

[xxii]https://www.leparisien.fr/societe/aluminium-dans-les-vaccins-le-rapport-qui-derange-21-09-2017-7277037.php

[xxiii]https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32368656/

[xxiv]https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0946672X17308763

[xxv]https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs12403-020-00346-9#Sec6

[xxvi]http://www.nature.com/articles/s41598-020-64734-6

[xxvii]https://www.hippocraticpost.com/pharmacy-drugs/aluminium-in-human-brain-tissue/

[xxviii]https://www.researchgate.net/publication/328269256_Aluminium_in_brain_tissue_in_autism

[xxix] Bruce et al, 2019, https://doi.org/10.1186/s12974-019-1569-2

[xxx] Li et al., 2015, https://www.researchgate.net/publication/282390680_Neonatal_Vaccination_with_Bacillus_Calmette-Guerin_and_Hepatitis_B_Vaccines_Modulates_Hippocampal_Synaptic_Plasticity_in_Rats

[xxxi] 10.1016/j.jinorgbio.2019.110915  

[xxxii]  https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2019.09.010

[xxxiii]  https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2019.09.010

[xxxiv] https://www.nature.com/articles/srep31578

[xxxv]https://content.iospress.com/articles/journal-of-alzheimers-disease-reports/adr170010

[xxxvi]https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs00775-019-01710-0

[xxxvii]https://www.hippocraticpost.com/pharmacy-drugs/aluminium-in-human-brain-tissue/

       pour en savoir plus, je vous recommande expressément sa conférence sur le sujet que nous avons sous-titrée en français : https://www.youtube.com/watch?v=sRhkj6TjDCI

[xxxviii]  https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2021/03/2021.02-Bulletin-scientifique-planches-20p.pdf

[xxxix]https://www.theguardian.com/society/2019/jun/01/professor-who-links-vaccines-to-autism-funded-through-university-portal

[xl]https://www.mesvaccins.net/web/news/6770-invaginations-intestinales-aigues-apres-vaccination-contre-les-infections-a-rotavirus-tres-rares-mais-graves

[xli]https://www.youtube.com/watch?v=cnjZZTgAhJo

[xlii]https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Offit

[xliii]https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

[xliv]https://www.irishcentral.com/news/robert-f-kennedy-case-monsanto-roundup-weed-killer

[xlv]https://childrenshealthdefense.org/news/is-pharma-censoring-the-science-at-one-major-university-by-choking-the-money-channel/

[xlvi] https://www.theguardian.com/education/2021/feb/09/keele-university-accepting-funds-for-researcher-who-shared-vaccine-misinformation

[xlvii] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22976072/

[xlviii] Imagine you are an Aluminum Atom, Christopher Exley

https://www.fnac.com/livre-numerique/a15085682/Christopher-Exley-PhD-FRSB-Imagine-You-Are-An-Aluminum-Atom

[xlix]https://www.fondation-mederic-alzheimer.org/les-chiffres-cles

[l]https://alzheimer-recherche.org/la-maladie-alzheimer/quest-maladie-dalzheimer/definition-et-chiffres/

[li]https://www.aimsib.org/2021/01/10/ivermectine-dans-la-covid-de-la-parole-aux-actes/

[lii]https://reinfocovid.fr/question-reponse/traitement-azithromycine-zinc/

[liii] Le Pr Andrew Pollard qui critique violemment le Pr Exley dans l’article de février 2021 travaille sur le vaccin anti-covid d’Oxford/AstraZeneca.

En France aussi on utilise le financement participatif ! L’équipe Inserm du Dr Crépeaux est en recherche de financement pour terminer son étude sur le lien entre les troubles de l’autophagie, les adjuvants aluminiques et les troubles du neuro-développement.

Si vous souhaitez soutenir cette recherche unique qui va nous en apprendre beaucoup sur les causes des troubles du neuro-développement, vous pouvez faire un don spécifiquement pour cette recherche via l’association E3M.

Le Projet : https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2020/06/2019.10-Aluminium-vaccinal-et-TSA-Re%cc%81sume%cc%81-du-projet-de-recherche-1.pdf

Portail de financement participatif : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3

Comprendre pourquoi le « science washing » est criminel : cas de l’aluminium vaccinal

Comprendre pourquoi le « science washing » est criminel : cas de l’aluminium vaccinal

Résumé :

Les adjuvants aluminiques contenus dans les vaccins, neurotoxiques notoires, sont la cause la plus probable des troubles du neuro-développement chez les nourrissons (troubles du spectre autistique, TDAH…). Ces troubles en constante progression atteignent aujourd’hui plus d’un enfant sur 100 en France, et plus d’un enfant sur 59 aux USA (chiffres du CDC portant sur l’année 2014). Un solide corpus d’études internationales étayent cette conclusion. Et surtout : aucune publication ne parvient à démontrer l’innocuité de l’alu injecté. Devant l’avancée des connaissances, les industriels soutenus par les « sociétés savantes » qu’ils financent appliquent les techniques héritées des industriels du tabac pour créer l’illusion d’une controverse, retarder la prise de conscience du public ainsi que le retrait de leur produit chéri, garant d’une rentabilité maximale… Le tout au mépris de la santé et du développement de nos enfants.

L’industrie a toujours eu recours à des produits toxiques pour la santé. Tant que ça paye, pourquoi s’embarrasser ? Évidemment, cela finit par se remarquer et quand le produit commence à attirer un peu trop l’attention du public, les industriels actionnent tout un éventail de petites techniques ingénieuses pour protéger leur produit aux œufs d’or.

D’abord, ne pas nuire… aux profits

 – “Notre produit, c’est le doute, car c’est le meilleur moyen de rivaliser avec la somme de faits et d’informations qui occupent l’esprit du grand public. C’est aussi le moyen d’établir qu’il existe une controverse.” [i]

Dans ce célèbre mémo, les industriels du tabac dévoilaient la stratégie qu’ils avaient élaborée dès les années 50 :

Créer de toute pièce une fausse controverse scientifique là où en réalité, il n’y a aucun doute quant à la nocivité du produit en question.

Donc au final on ne sait plus qui croire, on maintient le statu quo et on retarde les réglementations sérieuses. Et pour ce faire, quoi de mieux, entre autre, que de financer une « science » sur mesure, dont les résultats sont déterminés à l’avance [ii] ?

Science sous influence

L’ennemi à abattre est clairement la science indépendante, comme en témoigne ce mail des Monsanto Papers [iii] :

– « Ces données produites par les chercheurs universitaires ont toujours été pour nous un problème majeur dans la défense de nos produits »

Tu m’étonnes ! Le tabac, l’amiante, le glyphosate ou les perturbateurs endocriniens : c’est toujours la même histoire.

Les chercheurs indépendants de l’industrie – financés par nos impôts – découvrent la nocivité d’un produit. Ils publient leurs découvertes. Les industriels enclenchent alors la machine à fabriquer de la controverse en finançant des études bien à eux… qualifiées évidemment de « science solide » (sound science), novlangue oblige.

Une science qui, au lieu de produire de la connaissance, produit de l’ignorance, « détournant le processus scientifique à des fins commerciales ».

Une science sale.

Science-washing, blanchiment de science sale

Pour obtenir une légitimité et être blanchie, cette « science sale » doit impérativement être publiée dans la littérature scientifique. Elle devrait donc, en théorie, être « vérifiée par les pairs », ce qui pourrait poser problème… Mais pourquoi s’embêter ?

Quand on en a les moyens, il suffit de financer certaines sociétés savantes produisant des rapports et publiant des papiers ad hoc dans leurs revues qualifiées de « capturées » par les journalistes et chercheurs qui étudient ce phénomène [iv]. Il suffira ensuite de trouver un expert ou deux prêts à signer le papier, écrit ou non par eux [v]. Peu importe d’ailleurs leur domaine d’expertise, tant qu’ils sont docteur ou professeur… on ne va pas faire la fine bouche.

Pour résumer, on appellera ces personnes les « co-labos ».

Une fois publiées, ces études viendront grossir les rangs des notes de bas de page des rapports officiels qui pourront s’appuyer dessus pour affirmer qu’il y a une controverse, voire un « consensus scientifique ».

Il faudrait tout un livre [vi] pour détailler tous les petits trifouillages de paramètres qui permettent aux industriels de protéger leurs chers petits produits : l’Aimsib nous en donne régulièrement quelques aperçus [vii]. Alors maintenant qu’on a vu la théorie, passons à l’étude de cas dans un domaine « controversé », sinon ce n’est pas drôle.

Les adjuvants aluminiques

S’il est un domaine dans lequel le doute n’a plus aucune raison d’être, c’est bien celui du danger des adjuvants aluminiques, surtout s’ils sont injectés à des nourrissons. C’est simple :

Il n’existe aucune étude de quelque nature que ce soit capable de démontrer l’innocuité de ce neurotoxique, lui-même capable d’inhiber 200 fonctions biologiques importantes [viii]. Nos pauvres industriels en sont même réduits à utiliser de l’aluminium en guise de placebo dans leurs essais cliniques [ix]… C’est dire !

Dans le camp des « pour », il n’y a tout simplement rien, nada, niet.

Dans le camp des « contre », on a une bonne centaine d’études internationales [x], publiées dans des revues à comité de lecture, depuis les années 90, documentant précisément la toxicité de l’aluminium particulaire injecté en intra-musculaire. Ajoutons qu’il y a également plusieurs centaines d’études sur les autres formes d’aluminium, car l’alu est toujours toxique, mais pas de la même façon suivant sa forme, sa fréquence et sa voie d’administration, ainsi que la santé et l’âge de la personne exposée.

Bref, c’est un sujet complexe qui exige évidemment un certain temps d’étude.

Les industriels le savent, le temps de l’aluminium est compté. Or l’aluminium est indispensable… aux profits industriels [xi]. Pour détourner l’attention du public, on a donc mis l’accent sur l’importance de la vaccination, l’interdiction de critiquer tout composant, le renforcement des obligations vaccinales, ainsi que toute une série d’arguments fallacieux que je détaille dans la vidéo « l’Alu Total » [xii]. Mais la propagande ne suffit pas : il faut faire semblant de faire de la science.

Et c’est là qu’interviennent les co-labos.

Les co-labos contre-attaquent

En septembre dernier, une offensive est lancée pour tenter de donner du poids aux allégations « pro aluminium ». Un papier intitulé « Aluminium et vaccins : ce que l’on sait aujourd’hui  »(retenez bien ce titre) est publié dans une petite revue [xiii] émanant de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui n’a évidemment, aucun conflit d’intérêt :

Ainsi Le Pr Jean-Pierre Goullé (toxicologue, membre de l’Académie de Médecine et de l’Académie de Pharmacie) et le Dr Liliane Grangeot-Keros (infectiologue, secrétaire perpétuelle de l’Académie de Pharmacie) se proposent donc de passer en revue la littérature scientifique sur le sujet très complexe des adjuvants aluminiques.

 

Goullé et Grangeot-Keros n’admettent aucun conflit d’intérêt, ils déclarent d’ailleurs avoir bossé gratos ! Ils n’ont surtout jamais rien publié dans la littérature sur les adjuvants aluminiques. Mais ils n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà participé au rapport de l’Académie de Pharmacie sur le sujet, en 2016 [xiv] … qui comme l’intégralité des rapports officiels, affirme que l’aluminium injecté est sûr, en se basant sur les 4 lapins de l’étude de Flarend, réalisée en 1997.

Cette étude, que je détaille dans la vidéo « L’Alu Total » et qui a fait l’objet d’une analyse critique publiée [xv], observe au contraire, que l’aluminium injecté n’est pas éliminé et migre dans le corps, avant d’entrer dans le cerveau.

Pas vraiment rassurant… Mais que voulez-vous, ils n’ont qu’une seule étude expérimentale qui conclut que tout va bien, alors ils la citent ad nauseam. Personne ne prend la peine de la lire, de toute façon…

La technique du picorage sélectif ou « cherry picking »

La première chose qui frappe dans cette revue qui prétend établir « ce que l’on sait aujourd’hui », c’est l’extrême petit nombre des références, ainsi que l’obsolescence de ces sources, sur un sujet aussi pointu.

Sur les 33 références de départ, il y a en tout et pour tout 5 études qui portent réellement sur les adjuvants aluminiques !

  • Flarend 1997 (étude in vivo flippante)
  • Hem 2002 (étude in vitro non réalisée dans des conditions biologiques)
  • Verdier 2005 (étude Aventis-Pasteur (devenu Sanofi) qui observe bien la très longue persistance de l’aluminium : pas franchement rassurant)
  • Gherardi 2001 : observe un ensemble de troubles neurologiques et musculaires chez l’Homme (Myofasciite à Macrophages, MFM) lié à la longue persistance des sels d’aluminium dans l’organisme.
  • Schoenfeld 2011 : définit un nouveau syndrome ASIA, le « syndrome de l’adjuvant » qui englobe la MFM.

Et bien sûr, les 3 sempiternels rapports officiels  : Académie de médecine/HCSP/Académie de pharmacie [xvi], tous focalisés sur l’étude de Flarend 1997… et qui commencent très sérieusement à dater dans un domaine où les plus importantes découvertes ont été faites ces 3 dernières années.

Quid des centaines d’études publiées sur les adjuvants aluminiques ces 20 dernières années ? Pas un mot sur ce qui incarne de fait la véritable littérature scientifique sur le sujet

Rien sur l’existence de ces études, rien qui expliquerait pourquoi elles ont été écartées [xvii] . C’est tout simplement comme si elles n’existaient pas.

Le reste des références n’a strictement rien à voir avec la choucroute. Je dois être une génie absolue pour être capable de comprendre qu’un sel d’aluminium particulaire injecté en intra-musculaire n’a probablement pas la même pharmacocinétique que l’aluminium soluble (sous forme ionique, 10 000 fois plus petit) ingéré par voie orale, ou injecté par intra-veineuse, ou même en sous-cutané, et qu’il est donc complètement spécieux (je suis gentille) de comparer ces différentes formes d’aluminium et ces différentes voies d’administration.

C’est un peu comme si une personne mourait d’une balle de plomb dans le cerveau, mais que l’autopsie, ne relevant aucune forme de saturnisme, concluait que le plomb de la balle n’a pas pu causer la mort de la victime… et donc une balle dans le cerveau, c’est pas risqué (si le type est mort, c’est juste une coïncidence).

Et je dois également être une super-génie pour comprendre qu’un nourrisson N’EST PAS un adulte miniature, que son cerveau et son système immunitaire sont beaucoup plus sensibles à toute perturbation toxique ou neurotoxique, et que toute étude sur un adulte (il n’y en a pas, je vous rassure…) ne pourrait pas être une garantie de sécurité pour un nourrisson, dont plusieurs barrières biologiques ne sont pas matures [xviii].

Ces multiples simplifications entraînent une confusion extrêmement grave qui témoigne d’une méconnaissance totale du sujet ainsi qu’un manque d’intérêt flagrant pour ce domaine complexe… ou bien une volonté justement de tromper le lecteur. Je me demande finalement ce qui est le plus grave.

OK BOOMER

Je rappelle que cette revue a pour titre « Aluminium et vaccins, ce que l’on sait aujourd’hui ».

Du coup, on se demande pourquoi, sur les 6 pages de l’étude, seuls 5 paragraphes sont effectivement consacrés aux adjuvants aluminiques…

Et encore, 2 d’entre eux sont consacrés à des études portant sur 2 vaccins particuliers, donc hors sujet également [xix]. Le reste du texte s’attarde sur les autres formes d’aluminium… et les autres voies d’exposition.

Et puis « aujourd’hui », pour moi, ça veut dire 2020. Mais pour Goullé et Grangeot-Keros, le cap du XXIème siècle n’est toujours pas amorcé, et au final, c’est encore et toujours l’étude de Flarend 1997 qui est utilisée pour rassurer le public.

En 2020, cela fait plus de 20 ans que des chercheurs internationaux étudient les adjuvants aluminiques, avec une très forte accélération depuis quelques années.

 

Pharmacological Research a censuré l’étude en mars 2019, sans aucune raison, à la demande d’un « lecteur anonyme »…

Heureusement, Journal of Inorganic Biochemistry vient de la republier. La guerre de l’information scientifique fait rage dans le domaine des adjuvants aluminiques. Que personne (de bonne volonté) ne se trompe : cette étude est parvenue à reproduire les troubles neurologiques observés après les campagnes de vaccination des moutons espagnols, avec un VRAI groupe contrôle ainsi qu’un groupe qui a reçu seulement les adjuvants aluminiques. Il n’y a plus de doute à avoir (le mouton est un gros mammifère… que penser d’un nourrisson de 5 kg ?)

C’est un véritable changement de paradigme qui s’est opéré ces dernières années, les recherches démontrant que la toxicité des adjuvants aluminiques relève de la toxicité des particules fines, bien plus complexe que la simple toxicité chimique classique, de « la dose qui fait le poison », la seule apparemment que connaissent Goullé et Grangeot-Keros.

Des doses de toute façon officiellement trop importantes, chez le nourrisson. [xxv]. Mais pour Goullé et Grangeot-Keros, 4 lapins et un seul mois d’étude sont largement suffisants pour affirmer que questionner la sécurité des adjuvants relève de « la polémique irrationnelle », invoquant comme justification « qu’on ne peut pas remettre en question la sécurité des sels d’aluminium des vaccins ». Esprit scientifique, es-tu là ?

De la science sale… Mais je garde le meilleur pour la fin, bien sûr.

Pas de science sale sans censure

Évidemment, les chercheurs n’ont pas tardé à réagir  : ils ont rapidement présenté, conjointement, une « lettre à l’éditeur » (trop) référencée [xxvi] afin de donner leur point de vue. C’est un peu comme ça que ça marche, la science : on discute, on donne son avis, on débat. Oui mais non, pas dans une « revue capturée ».

Dans ce cas, l’éditeur en chef qui n’a pas de conflit d’intérêt [xxvii], a tout simplement refusé de publier la réponse des chercheurs qui publient effectivement, depuis longtemps, sur le sujet.

Devant l’étonnement des chercheurs, et à leur demande, il a bien fallu donner une raison :

– « Le ton polémique employé dans cette lettre ne permet pas sa publication, car elle le (sic) reflète pas une discussion sur des bases scientifiques. Ces mêmes données scientifiques manquent dans l’argumentation. En conséquence MMI ne peut pas publier cette lettre ».

Qui sont les plus à même de s’exprimer sur un sujet complexe, si ce n’est les chercheurs internationaux indépendants qui publient régulièrement sur ce sujet, depuis des années, dans des revues à comité de lecture ? Ce sont eux qui ont construit si patiemment les connaissances scientifiques dont nous disposons aujourd’hui… et qui nous permettent d’affirmer sans l’ombre d’un doute, que « ce que nous savons aujourd’hui », c’est que « les adjuvants aluminiques sont extrêmement dangereux ».

Qui oserait publier une “revue” sans citer aucun de ces travaux ?

Qui oserait censurer la connaissance sur un sujet aussi crucial pour le développement neurologique et la santé de nos bébés ? Qui ?

Conclusion

J’ai un message personnel pour le Pr Goullé et la Dr Grangeot-Keros, et pour tous les co-labos qui affirment qu’injecter un neurotoxique à des êtres en plein développement neurologique est sans risque : Nous ne sommes plus en 1945, Internet n’oublie rien ni personne.

Vous jouez la santé de nos enfants à la roulette russe mais l’Histoire retiendra que les injections d’aluminium ont causé le plus grand génocide neurologique que l’humanité ait jamais connu… Ce poids, nous le paierons tous collectivement, très prochainement [xxviii]. Et sur le futur monument numérique dédié aux vendus du profit économique, gravé pour l’éternité dans la blockchain, vos noms trôneront en bonne position.

 

Notes et sources :
Pour en savoir plus sur la pharmacocinétique des adjuvants aluminiques et comment ils provoquent des troubles du neuro-développement (par activation précoce de la microglie cérébrale) : « L’Alu Total  » : https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

article publié sur le site de l’Aimsib : https://www.aimsib.org/2020/03/01/comprendre-pourquoi-le-science-washing-est-criminel/

Revue des Pr Goullé et Dr Grangeot-Keros « Aluminium et vaccins, ce que l’on sait aujourd’hui » (notez que ces personnes connaissent les chercheurs et leurs travaux… Ils ont donc sciemment omis de les référencer :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0399077X18308448?via%3Dihub

[i] Mémo du service marketing de Brown et Williamson, entreprise du tabac, 1969, cité par Robert Proctor dans Golden Holocaust, la conspiration des industriels du tabac, éditions des équateurs, p. 307
[ii] Une vidéo sympa explique très bien le « sciencewashing » : https://www.youtube.com/watch?v=1maqU4iGmac
[iii] Mail du toxicologue en chef de Monsanto, William Heydens en 2001, cité par Stéphane Horel dans Lobbytomie, éditions La Découverte, 2018, p.55
[iv] L’étude de “la production délibérée d’ignorance” a donné naissance à une discipline universitaire : l’agnotologie, terme inventé par l’historien Robert Proctor en 1992 https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnotologie
[v] Recours au Ghostwriting : un scientifique signe un papier rédigé par les membres d’une firme. les Monsanto Papers en donnent de très bons exemples.
[vi] Par exemple, Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte, 2018
[vii] https://www.aimsib.org/2020/02/16/les-vaccins-qui-ninduisent-jamais-de-sep-letude-allemande-qui-nous-a-fait-mourir-de-rire/
[viii] Kawahara 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3056430/
[ix] Pour en savoir plus : https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/

Rapport de la FDA sur le Cervarix© :
https://www.fda.gov/downloads/biologicsbloodvaccines/vaccines/approvedproducts/ucm237976.pdf

Rapport sur le Gardasil© (protocole 15, p.38)
https://www.scribd.com/document/367386168/V501-015-00-PRO-VD?secret_password=j4BXCUs76g4wRtDxk5cy
[x] https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/

Et encore, je n’ai pas encore eu le temps de mettre la liste à jour… En attendant :
https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2019/07/2019.07-MAJ-connaissances-planches.pdf
https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2020/02/2020.02-Bulletin-scientifique-planches.pdf

[xi] Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
[xii] https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
[xiii] Revue Médecine et maladies infectieuses – Impact Factor 2018 de 1,289 (c’est donc une revue peu influente)
[xiv] Énième rapport officiel qui a fait grincer des dents les scientifiques et les victimes : https://www.vaccinssansaluminium.org/lettre-e3m-academie-pharmacie/
[xv] Masson 2017 : https://www.researchgate.net/publication/317281644_Adjuvants_aluminiques_des_vaccins_analyse_critique_des_etudes_toxicocinetiques_de_reference
[xvi] http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
[xvii] https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/
Chapitre “études qui témoignent de graves problèmes avec les adjuvants”…
[xviii] Cela dénote surtout une obsolescence des connaissances relatives au système immunitaire, uniquement perçu comme « défense contre les virus et bactéries », alors qu’on sait bien aujourd’hui que ce système a d’autres fonctions très importantes, notamment dans l’élaboration du cerveau, ou dans le déclenchement de l’accouchement.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2014/02/medsci20143002p153/medsci20143002p153.html
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2014/02/medsci20143002p147/medsci20143002p147.html
https://www.pourlascience.fr/sd/neurosciences/quand-les-cellules-immunitaires-remodelent-le-cerveau-12420.php
https://www.institutcochin.fr/linstitut/actualites/accouchement-est-il-assimilable-a-un-rejet-de-greffe
Que penser alors d’une vaccination de la femme enceinte, susceptible de modifier le “verrou immunologique” qui protège le foetus, ou d’activer une réponse inflammatoire maternelle, capable de modifier le développement du cerveau du fœtus ?
[xix] En effet, citer des études sur les vaccins anti-HPV ou anti-hépatite B est fallacieux : ce ne sont pas des études portant sur les adjuvants aluminiques (ça alors !). Elles ne prennent absolument pas en compte ce facteur et les groupes dits « de contrôle » sont donc pollués par l’aluminium des autres vaccinations potentielles (lors des rappels inscrits au calendrier vaccinal).
[xx] https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/12/2013.04-Zakir-Khan-FR.pdf
[xxi] https://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Non-linear-dose-response-of-aluminium-hydroxide-adjuvant-particles-Selective-low-dose-neurotoxicity.pdf
[xxii]  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S016201341930501X?via%3Dihub
L’étude est disponible ici : https://docdro.id/r7D498k
[xxiii] https://www.researchgate.net/publication/328269256_Aluminium_in_brain_tissue_in_autism
[xxiv] https://alutotal.wordpress.com/autisme-et-adjuvants-daluminium-des-vaccins/

Le nombre d’études sur le rôle de l’activation microgliale précoce dans l’apparition des troubles autistiques a explosé en 2019 ! Tapez « microglia + autism » dans pubmed…
[xxv] Exley 2020 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0946672X19304201?via%3Dihub
[xxvi] Chaque revue a sa politique maison. Chez Médecine et Maladies infectieuses, une « lettre à l’éditeur » n’ a pas le droit de citer plus de 7 références… C’est bien dommage pour la science.
[xxvii] Jean-Pierre Stahl, déclaration d’intérêts de la part des industriels sur Transparence santé
STAHL Jean-Paul, rédacteur en chef revue Médecine et Maladies Infectieuses, 21 033 € d’avantages – 33 080 € de rémunération – 97 conventions dont on ne connait pas le montant. En particulier GSK pour « collaboration scientifique »
[xxviii] Aux USA, c’est plus d’un enfant sur 59 qui est officiellement autiste. En France, on tournerait autour des 1 %… pas de chiffre officiel, pas de problème. Le coût de tous ces troubles chroniques est juste en train de faire exploser nos modèles de sécurité sociale…Pour en savoir plus, téléchargez l’état des lieux des connaissances, rédigé par un docteur en médecine, et diffusez ces connaissances au maximum : https://docdro.id/IAJtG5H

Un petit dernier pour finir, extrait du JIM malgré une énorme influence des firmes du médicament (comme quoi, même une revue capturée peut avoir un sursaut de conscience : y’a de l’espoir !) :
https://docdro.id/CdhW8tu

Crédit photo : extrait de la série Breaking Bad

L’aluminium est-il indispensable à la vaccination ?

L’aluminium est-il indispensable à la vaccination ?

On nous dit que l’aluminium est indispensable à la vaccination et qu’il y a 90 ans de recul d’utilisation. Et pourtant, historiquement, il y a toujours eu des vaccins sans aluminium. Révisionnisme historique ?

C’est en 1926 que Glenny découvre les propriétés pro-inflammatoires des sels d’aluminium. Mais ils ne vont pas être utilisés du jour au lendemain.

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source du graphique

En consultant les dictionnaires Vidal (ouvrage médical français rassemblant les résumés des caractéristiques des médicaments commercialisés en France[i]) des années 50 à 80, on constate que les versions adjuvées ou sans adjuvant ont coexisté jusqu’en 1986 pour le DTCoq (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche, à l’époque, le seul vaccin à l’aluminium, devenu en 1974 DTCPolio de Pasteur – vaccins IPAD), et jusqu’en 2008 pour le DTPolio, seul vaccin correspondant à l’obligation légale française.

Vidal 1972

Vidal 1973

On voit dans le Vidal de 1972 que l’industriel Mérieux commercialisait les deux formules du DTCoq, sans aluminium et avec. En 1973, Mérieux choisit de ne plus fabriquer que des vaccins à l’aluminium. Pourquoi ? Un simple petit coup d’œil au Vidal nous donne l’explication.

La version avec aluminium est bien plus rentable : elle contient des demi-doses (0,5 cm3 contre 1 cm3 pour les versions sans aluminium) avec un nombre réduit d’antigènes (l’élément le plus onéreux d’un vaccin). Ces versions avec aluminium sont pourtant vendues plus cher (468 francs la dose contre 341 francs pour la version sans aluminium).

Heureusement, après 1974, les vaccins IPAD de l’institut Pasteur (DTCoqPolio) ont « pris la relève », proposant une alternative à l’aluminium avec l’adjuvant phosphate de calcium : en effet, les membres de l’institut ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation des sels d’aluminium, dès les années 70.

Capture d’écran 2020-02-27 à 09.36.08.png

Mais ces vaccins ne seront plus produits dès 1986 (après la fusion Pasteur-Mérieux). La problématique industrielle l’emporte : c’est l’adjuvant le plus rentable, et non pas le plus sûr, qui est évidemment choisi, comme nous l’explique Marc Girard (directeur scientifique de Pasteur vaccins) dans le documentaire Aluminium, notre poison quotidien (à 42 minutes).

Toutefois, probablement par souci éthique, Mérieux conservera un DTPolio sans adjuvants (datant de 1961), commercialisé jusqu’en 2008 mais retiré abusivement du marché par Sanofi : il n’était plus assez rentable (environ 6 euros) en comparaison avec les hexavalents, bien plus chers (environ 40 euros). Pour avoir tout le détail de l’affaire, qui est en cours de jugement, c’est ici.

Pour résumer : les vaccins « classiques » (diphtérie-tétanos-coqueluche-polio) ont existé en versions adjuvée ou sans adjuvant, jusqu’en 1986 pour le DTC puis DTCP, et 2008 pour le DTP, en France.

Difficile d’affirmer que l’utilisation des sels d’aluminium a 90 ans de recul… On aurait plutôt 30 ans de recul… avec une nette progression depuis les années 2000 et l’ajout des vaccins adjuvés contre les pneumocoques et méningocoques au calendrier vaccinal.

Difficile d’affirmer que l’aluminium est INDISPENSABLE à la vaccination en général.

Alors, comment la formule contenant de l’aluminium est-elle devenue la norme ?

L’intérêt avec les Etats-Unis d’Amérique, c’est que toute leur politique vaccinale est traçable en ligne (ce qui n’est pas le cas des autres pays…).

En faisant une petite recherche [ii], on découvre une date importante : 1962 et la signature du “Vaccination Assistance Act” par le président JF Kennedy. Avec cette loi, les campagnes de vaccination massives deviennent légales et bénéficient surtout d’un conséquent soutien financier de la part des Centers for Disease Control (CDC).

C’est à partir de cette date que va se mettre progressivement en place le programme national d’immunisation, avec son calendrier vaccinal officiel et ses instances dédiées (notamment l’ACIP… équivalent de notre Commission technique des vaccinations, en France).

Sur le site du CDC [iii], on apprend donc qu’avant 1962, il n’y avait pas de recommandations officielles en terme de vaccination : chaque médecin faisait un peu comme il voulait… la loi de 1962 est promue pour “établir aussi vite que possible la protection de la population, notamment des jeunes enfants… grâce à une intense campagne d’immunisation sur une période réduite”.

La porte est donc grande ouverte pour la production industrielle des vaccins et les campagnes de masse. 

Les industriels sont prêts : seulement, il est toujours plus profitable de ne produire qu’un seul produit, plutôt que deux, comme nous l’explique Marc Girard, le directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans le documentaire de France 5 “Aluminium, notre poison quotidien[iv].

Evidemment, suivant la logique industrielle, le choix se porte sur le produit le plus rentable, au détriment des autres considérations. Ainsi, l’Académie Américaine de Pédiatrie [v] recommande dès l’année 1964 l’utilisation exclusive des vaccins à l’aluminium pour le DTCoq (le fameux DTP en anglais, ne pas confondre avec le DTPolio français) : ça tombe bien, non ?

La même année, est créé l’ACIP (The Immunization Practices Advisory Committee) du ministère de la santé, un groupe d’experts chargés d’élaborer le calendrier vaccinal et de le mettre à jour, mais aussi d’autoriser la commercialisation des nouveaux vaccins.

La production de masse avait besoin de l’aluminium pour augmenter le volume de production tout en maximisant le profit financier des industriels.

Il est donc fondamental d’étudier comment se sont soldées ces fameuses campagnes de vaccination DTCoq massives des années 70, les premières à favoriser les versions adjuvées à l’aluminium, aux USA.

Eh bien, les industriels n’étaient pas franchement ravis : malgré un marché captif et une quasi obligation de vacciner (DTCoq en tête, DTP en anglais), il y a eu de plus en plus de procès à la suite d’accidents vaccinaux graves, qui leur faisaient perdre leurs précieux bénéfices.

p. 420 : Between 1980 and 1986, people who claimed vaccine injury brought over three billion dollars of damages claims to U.S. civil courts against vaccine manufacturers.26 (…) Because legal costs were high and vaccine manufacturers argued they were unable to obtain cost-effective liability insurance, manufacturers began to leave what they asserted was an unprofitable market.28 For example, Wyeth Laboratories temporarily halted production of the diphtheria, pertussis, and tetanus (DPT) vaccine in 1984 “because of extreme liability exposure, cost of litigation and the difficulty of continuing to obtain adequate insurance.”29

traduction :

Entre 1980 et 1986, les gens qui accusaient les vaccins de leur avoir causé des effets indésirables graves ont coûté 3 Milliards de dollars de dommages aux entreprises du vaccin, devant les tribunaux civils (…) Comme les coûts juridiques étaient élevés, les entreprises du vaccin déclarèrent qu’elles étaient incapable de maintenir une assurance responsabilité civile rentable, quelques fabricants ont commencé à quitter ce qu’ils affirmaient être un marché non profitable. Par exemple, le laboratoire Wyeth cessa temporairement sa production de DTCoq en 1984 « en raison d’une exposition extrême à la responsabilité, du coût des litiges et de la difficulté de continuer à bénéficier d’une assurance adéquate ».

A partir des années 70, les accidents vaccinaux se sont multipliés : ils étaient de moins en moins rares, sans quoi les industriels n’auraient eu aucun mal à les dédommager.

En effet, de nombreux parents accusaient à l’époque le DTCoq de provoquer des dommages cérébraux ainsi que la mort subite de leurs enfants[vi]. On pensait alors que c’était l’antigène de la coqueluche qui était responsable.

Personne ne savait que les vaccins contenaient une grande quantité d’aluminium, métal neurotoxique biopersistant, capable d’entrer dans le cerveau, comme on le découvrira seulement 20 ans plus tard.

Dans les années 70 va donc se développer un mouvement “anti-DTCoq” : et comme on l’a vu, certains industriels cessent alors de produire ce vaccin[vii].

Que faire ? Rendre la vaccination plus sûre afin de regagner la confiance du public ? Noooon, pas la peine, les industriels ont une bien meilleure idée : transférer leur responsabilité au gouvernement ! Comme ça, s’il y a un problème avec un vaccin (et qu’on arrive à le prouver, évidemment) ce seront les impôts du public qui paieront !

Quelle idée géniale ! Et voici la naissance du National Childhood Vaccine Injury Act [viii], en 1986  : après avoir menacé Reagan de stopper les productions de vaccins, les laboratoires obtiennent l’immunité (ahah) légale :

Ils ne sont désormais plus responsables de leurs produits.

En « contrepartie », les USA créent en 1990 un système de surveillance des effets secondaires graves (les fameux VAERS où l’on peut déclarer un effet indésirable, effets potentiellement étudiés par le Vaccine Safety Datalink : VSD). C’est tout bénéf ? Pas si sûr…

Le système est passif : il faut que le médecin ou la famille déclare l’effet secondaire lui-même… Mais encore faut-il qu’ils soient au courant de l’existence de ce système, et qu’ils pensent à déclarer l’effet, ce qui est très loin d’être le cas. En effet, une importante sous-notification est officiellement reconnue par le HHS (l’équivalent d’un super ministère de la santé aux USA) qui estime que moins de 1 % des effets indésirables des vaccins est notifié.

« less than 0.3% of all adverse drug events and 1-13% of serious events are reported to the Food and Drug Administration (FDA). Likewise, fewer than 1% of vaccine adverse events are reported. Low reporting rates preclude or slow the identification of “problem” drugs and vaccines that endanger public health. New surveillance methods for drug and vaccine adverse effects are needed. »

Sous-notification confirmée en France par le Quotidien du médecin.

Refus d’automatisation du système VSD (Vaccine Safety Datalink) afin de rendre la surveillance plus active, alors que c’est possible, l’université d’Harvard a même été financée par le CDC pour évaluer la faisabilité. Devant l’affirmative, le CDC n’a plus jamais rappelé les chercheurs sur ce sujet. Evidemment, le système est toujours passif aujourd’hui, comme partout ailleurs…

– Cette énorme base de donnée n’est jamais utilisée dans les études de sécurité : ses précieuses données sont pourtant riches en enseignements[ix].

– Le Ministère de la santé a le devoir d’évaluer la sécurité des vaccins TOUS LES DEUX ANS. Cette évaluation n’a jamais été réalisée en plus de 30 ans. Le ministère est donc actuellement poursuivi en justice [x].

Que disent les études expérimentales indépendantes sur le sujet ?

A la même époque, l’équipe du Pr Aaby mène en Afrique, une véritable étude[xi] sur le DTCoq qu’ils ont eux-mêmes administré à une grande partie de la population de Guinée-Bissau. Ils disposent en effet d’un véritable groupe contrôle d’enfants non-vaccinés et découvrent, après des années de campagnes vaccinales dans ce pays, que leur travail a été contre-productif : le vaccin DTCoq, contenant de l’aluminium multiplie par 5 fla mortalité des enfants vaccinés car s’ils sont bien immunisés contre la Diphtérie, le Tétanos et la Coqueluche, ils sont en revanche plus sensibles aux autres infections et meurent  plus souvent de maladie[xii]. (3 études ont été réalisées par l’équipe vaccinatrice).

Devant les connaissances actuelles portant sur la toxicité de l’aluminium (neurotoxique et très biopersistant, capable de mobiliser le système immunitaire pendant des mois voire des années, et capable d’entrer dans le cerveau), il est extrêmement probable que les particules d’adjuvant aluminique contrebalancent l’effet du vaccin, rendant le système immunitaire plus fragile face aux infections. Il peut causer également des inflammations chroniques qui, à certains âges, peut déboucher sur des troubles du neuro-développement, et autres troubles chroniques (auto-immunité, allergies voire cancer).

 

Il est donc complètement insensé et déraisonnable de soutenir que :

  • L’aluminium est forcément indispensable aux vaccins.

  • Qu’il y a un recul de 90 ans sur l’utilisation de ces adjuvants.

Les adjuvants aluminiques n’ont jamais eu à démontrer leur innocuité, du fait de leur début d’utilisation dans les années 20. Et s’il fallait démontrer cette innocuité aujourd’hui, ce serait impossible : les labos seraient forcés de changer la formulation de leurs vaccins… cela leur coûterait très cher, d’autant qu’ils ne sont PAS responsables de leurs produits (aux USA comme en France).

Alors ils n’ont aucune raison de s’inquiéter… contrairement à nous.

 

RÉFÉRENCES :

[i]   https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictionnaire_Vidal

[ii]    https://www.immunize.org/timeline/

[iii]    https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/su6004a9.htm

[iv]https://www.youtube.com/watch?v=2egx2SFJvi8

[v]    https://www.historyofvaccines.org/timeline#EVT_102234

[vi]https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/su6004a9.htm

[vii] Voir le Documentaire “DTP vaccine roulette” (datant de 1982) : https://www.youtube.com/watch?v=0w3P7_H_ods

[viii]https://en.wikipedia.org/wiki/National_Childhood_Vaccine_Injury_Act

[ix] https://www.researchgate.net/publication/235721895_Empirical_Data_Confirm_Autism_Symptoms_Related_to_Aluminum_and_Acetaminophen_Exposure

[x] https://www.icandecide.org/ican-vs-hhs-the-great-vaccine-debate/

[xi]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5868131/

[xii]Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35 Months in Guinea-Bissau: A Time for Reflection? https://doi.org/10.3389/fpubh.2018.00079

Le Pr Aaby a aussi donné des conférences sur le sujet que l’on trouve sur Youtube, ainsi que sa collaboratrice (qui a fait un TedX sur le sujet) : leur conclusion, les vaccins à virus vivants (notamment anti-rougeole non combiné) boostent l’immunité des enfants africains, tandis que les vaccins à l’aluminium (inactivés) provoquent une hausse de la mortalité par infections. Voir : https://www.youtube.com/watch?v=NPNHYAevTwg&t=2s

https://www.youtube.com/watch?v=_d8PNlXHJ48

 

Aluminium des vaccins :                              les doses injectées sont officiellement toxiques

Aluminium des vaccins : les doses injectées sont officiellement toxiques

Comment la médiocrité généralisée et l’incompétence des organismes sanitaires bousillent les cerveaux de nos bébés (entre autre…). 

Pour voir l’explication en vidéo : voir l’ALU TOTAL, à partir de 32:34


Définitions à connaître :

  • DJT : Dose Journalière Tolérable

Cette dose représente la quantité d’une substance toxique qu’un individu moyen de 60 kg peut théoriquement ingérer tous les jours, sans risque pour la santé. Elle est habituellement exprimée en mg de substance par kg de poids corporel…

Le calcul de la dose journalière Tolérable pour l’homme est basé sur le seuil maximum de consommation au-delà duquel les premiers effets toxiques sont observables, notamment chez la souris. Ce seuil est aussi appelé « dose sans effet » (DSE) ou NOAEL : No Observable Adverse Effect Level en anglais. Il sert à fixer le MRL (Minimum Risk Level), le fameux niveau de sécurité à ne pas dépasser.

La DES/NOAEL est généralement déterminée par les expérimentations animales (sur la souris dans le cas de l’aluminium). On obtient alors la DJT en divisant arbitrairement par un facteur 100 à 1 000 la DSE afin de prendre en compte les variations quand on extrapole de l’animal à l’homme. Mais dans le cas de l’aluminium, on divise SEULEMENT par 30… Allez savoir pourquoi.

PROBLÈMES :

1er problème :

Pour les Etats-Uniens (ATSDR), les « premiers effets toxiques observables » correspondent à la paralysie de la souris après ingestion de 26mg/kg/jour d’aluminium (d’après Golub 2001).

Pour les Européens (EFSA), ces « premiers effets toxiques observables » sont plus fins : désorientation, troubles neurologiques, perte de mémoire… troubles atteints à des doses bien inférieures de celles qui provoquent la paralysie : 3,4 mg/kg/jour (d’après Alawdi 2016). Bref, suivant l’organisme sanitaire, nous n’obtenons pas le même niveau de sécurité.

Notons que le ministère de la Santé français et l’Académie de Médecine (et de Pharmacie…) se réfèrent… aux doses de sécurité américains ! Et ça ne gêne personne ?

2ème problème : On applique ces niveaux prévus pour l’adulte aux nourrissons, qui ne sont pourtant pas des adultes miniatures : ils sont bien plus à risque du fait de leur organisme immature, en plein développement… Et ça, c’est extrêmement problématique.

3ème problème : La DJT est calculée pour une unique substance toxique, et ne tient pas compte d’effets synergiques possibles lorsque cette substance est associée à une autre. Les effets cocktails ne sont, quant à eux, jamais pris en compte… (oui, nous ne sommes pas soumis à un seul toxique à la fois, mais à de multiples toxiques, chaque jour).

  • Adjuvants d’aluminium : Les adjuvants d’aluminium sont ajoutés à la composition des vaccins pour provoquer la réaction immunitaire : ils sont donc très pro-inflammatoires (enfin toxiques quoi). Ils permettent de baisser la quantité d’antigènes présents dans le vaccin (et donc de baisser les coûts de production). Il y a 2 sortes d’adjuvant d’aluminium dans les vaccins pédiatriques : l’Hydroxyde d’Aluminium (Infanrix Hexa, Hexyon, Neisvac, Menjugate…) et le Phosphate d’aluminium (Infanrix Hexa, Prévenar…). Le ROR est un vaccin à virus vivants : il ne contient pas d’adjuvant.

 

  • Charge corporelle en aluminium du nourrisson : c’est la quantité d’aluminium présente dans le corps du nourrisson, à un temps donné. L’aluminium étant un puissant toxique (et même neurotoxique), plus la charge d’aluminium est importante, plus le risque de développer des troubles augmente. Une forte charge en aluminium est un signal de danger très alarmant pour le développement du nourrisson (et en particulier, son développement neurologique). Du fait de son extrême bio-persistance (l’aluminium reste dans le corps pendant des mois, voire des années, suivant les personnes), l’aluminium représente un risque majeur de troubles du développement pour le nourrisson.

 

  • Calendrier Vaccinal Etats-Unien VS Calendrier Vaccinal Français : la seule étude officielle qui a tenté de définir la charge corporelle en aluminium du nourrisson est une étude américaine (Mitkus 2011). Ses calculs théoriques sont donc basés sur le calendrier vaccinal américain. Mais depuis que 11 vaccins sont obligatoires en France, nous injectons à peu près les mêmes doses d’aluminium à nos nourrissons (ce n’est pas une bonne nouvelle… sachant que les enfants américains ont une santé déplorable : 54% des enfants souffrent d’une maladie chronique, d’après le ministère de la santé américain).

Alors, pourquoi pouvons-nous parler d’Overdose Obligatoire d’Aluminium ?

 

  1. Une seule étude officielle garantit l’innocuité des doses injectées chez le nourrisson

 

Une seule et unique étude a été réalisée à ce jour, pour tenter de quantifier la charge en aluminium théorique des nourrissons, notamment via la vaccination. Cette étude, Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.17.pngappelée MITKUS 2011, a été produite par la Food and Drug Administration états-unienne. Voici les courbes de charge corporelle des nourrissons, établies par Mitkus.

Courbes de la charge corporelle du nourrisson, due au Phosphate d’Aluminium des vaccins (en noir sur la courbes). Les niveaux de sécurités sont en bleu et rouge.

Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.32.png

Courbe de la charge corporelle du nourrisson, due à l’Hydroxyde d’Aluminium des vaccins (en noir sur la courbes). Les niveaux de sécurités sont en bleu et rouge.

Capture d’écran 2019-04-23 à 09.44.32.png

Notons tout de suite que Mitkus ne tient uniquement compte que de l’aluminium qui transite par le sang pendant le mois qui suit l’injection (car Mitkus se base sur les taux d’absorption de l’étude in vivo de Flarend 1997, qui n’a duré qu’un mois, et n’a porté que sur 4 lapins) : pour résumer, Mitkus n’affiche sur ses courbes que 17% de l’hydroxyde d’aluminium, et 51% du phosphate d’aluminium, ce qui est une faute grave de raisonnement (ou une manipulation honteuse, au choix). Pour en savoir plus, voir l’argument 3 de l’ALU TOTAL sur Youtube.

 

Notons également que Mitkus sépare le Phosphate d’Aluminium de l’Hydroxyde d’Aluminium, alors que les deux sels d’aluminium sont injectés le même jour aux nourrissons via la vaccination. Il aurait donc fallu ADDITIONNER les courbes, évidemment, pour déterminer la charge corporelle TOTALE en aluminium.

 

2. Le niveau de sécurité appliqué dans l’étude de MITKUS est le niveau américain ATSDR qui est un niveau obsolète

La NOAEL appliquée dans l’étude de MITKUS, et qui détermine le Niveau de Risque Minimal (MRL) est celui de l’ATSDR américain, déterminé par une unique étude empirique datant de 2001 (Golub 2001), qui pensait à l’époque que le premier niveau toxique observable correspondait à une paralysie chez l’animal, soit ici 26mg/kg/jour chez la souris, soit l’équivalent d’une NOAEL de 0,86mg/kg/jour pour l’humain (26/30).

Depuis, on sait que l’aluminium provoque de multiples troubles neurologiques à des doses bien plus faibles, avant même d’atteindre la paralysie.

 

3. Appliquons le niveau de sécurité EUROPÉEN à l’étude de MITKUS

Des études plus récentes notent déjà des effets secondaires neurologiques chez la souris pour les doses de 3,4 mg/kg/jour : la DSE/NOAEL de 0,1 mg/kg/jour n’est donc probablement pas une NOAEL sérieuse, mais c’est à ce jour la plus basse retenue.

EFSA - TITRE

Ainsi, en Europe, l’European Food Security Agency (EFSA) a fixé la NOAEL de l’aluminium en 2008 à 0,1 mg/kg/jour (soit 0,7 mg/kg/semaine), soit pour la souris l’équivalent de 3mg/kg/jour (7 fois moins que le niveau retenu par l’ATSDR !)

efsa-dose-secu.png

PAr comparaison, L’OMS avait choisi la même NOAEL avant de multiplier ce taux par deux, pour une raison inconnue, en 2011 (DJT actuelle de 2mg/kg/semaine).

OMS - dose secu.png

Si on applique le niveau européen à l’étude de Mitkus, voici ce qu’on obtient :

MITKUS courbe avec EFSA.png

Il est évident que les doses d’aluminium injectées aux nourrissons dépassent OFFICIELLEMENT, au moins pendant la première année de vie du nourrisson, les niveaux de sécurité européens. D’autant qu’il ne faut pas oublier d’ADDITIONNER LES 2 COURBES.

Les nourrissons qui suivent le calendrier vaccinal sont donc soumis à des doses toxiques d’aluminium, de façon chronique, pendant au moins la première année de vie.

Sachant que l’aluminium est un puissant neurotoxique, qu’il est extrêmement biopersistant (il reste dans le corps pendant des mois, voire des années) et qu’il est démontré expérimentalement qu’il migre jusqu’au cerveau par le biais des macrophages (Flarend 97, Khan 2013, Crépeaux 2017…), l’aluminium apparaît comme le suspect numéro dans l’apparition des troubles neuro-développementaux que l’on observe aujourd’hui (cf. article Aluminium et autisme).

 

BREF : injecter un neurotoxique à un être en plein développement neurologique relève de l’inconscience la plus criminelle. C’est irresponsable au plus au point.

D’autant qu’il s’agit ici de calculs théoriques : chaque bébé a un seuil de tolérance différent, et on sait que les garçons sont bien plus sensibles que les filles à cet âge (les bébés féminins sont biologiquement plus matures que les garçons, à âge égal).

D’autant que la toxicité des adjuvants d’aluminium ne relève pas uniquement de la toxicité chimique (« la dose fait le poison »). Du fait de sa forme particulaire, les adjuvants d’aluminium relève également de la toxicité des particules fines : « la particule fait le poison », et c’est alors notamment la taille de la particule qui va avoir un impact toxicologique important. Or les plus fines particules se retrouvent dans les doses les plus faibles d’aluminium.

Attention, il serait erroné de penser que de fortes doses seraient de fait moins nocives : la toxicité de l’aluminium peut être extrêmement retardée. Si les faibles doses provoquent une pénétration cérébrale à court terme (dans les semaines suivants l’injection), rien ne dit que les fortes doses ne sont pas toxiques à plus long terme. D’autant que la pénétration cérébrale n’est pas la seule cause de troubles imputés aux adjuvants d’aluminium (allergies, asthme, maladies auto-immunes, fatigue chronique, voire cancer).

 

Spoiler alerte :

Fin 2017, la FDA a retiré en catimini l’étude de MITKUS qui n’est plus référencée sur son site : elle est donc de facto, obsolète. Mais le CDC américain, l’une des plus hautes autorités sanitaires au monde, continue de la citer en référence. Aucune autre étude officielle n’a été réalisée à ce jour sur ce sujet… capital.

 

PAR AILLEURS :

Le Ministère de la Santé français ne s’embarrasse pas de tels détails : ils font beaucoup plus simple pour tenter de s’auto-persuader que les doses d’aluminium injectées ne posent aucun problème pour le développement neurologique du nourrisson.

Attention, ce qui va suivre peut heurter l’intelligence des personnes raisonnables. Vous êtes prévenus.

Le ministère de la santé (dans un courrier envoyé au Conseil d’Etat, notamment) dit que chaque dose de vaccin respecte la « limite autorisée » de 0,85 mg d’aluminium par vaccin.

Mais d’où vient cette valeur de 0,85 mg ? Et surtout à quoi correspond-elle ?

Pour le savoir, il faut relire les minutes de la conférence historique de Porto Rico, en mai 2000, intitulée « Aluminum in vaccines », organisée par la puissante HHS américaine (une espèce de Super « ministère de la santé » dont dépendent entre autres la FDA, le CDC et le NIH) et réunissant tous les spécialistes mondiaux des adjuvants.

conference - TITRE

Au cours de la conférence (p.46-47), le spécialiste de la FDA Norman Baylor affirme que les doses d’aluminium des vaccins ne dépassent généralement pas la quantité de 0,85 mg d’aluminium par dose de vaccin. Un membre du NIH (National Institut of Health), le Dr Gerber (immense merci à lui !) pose alors LA question fatidique au Dr Normal Baylor

Dr Gerber : « Norman, le standard de 0,85 mg d’aluminium par dose, fixé par le Code Fédéral de Réglementation, pouvez-vous nous dire d’où cela vient et comment a-t-il été déterminé ?

            Dr Baylor : « Malheureusement, je ne peux pas. Je veux dire, nous avons essayé de savoir d’où cela vient. Nous avons essayé de trouver d’où vient cette valeur en consultant les archives et en déterminant comment ils ont trouvé cette valeur, en revenant au préambule de la réglementation. Nous n’avons pas pu trouver de réponse mais nous continuons à chercher ».

Les minutes de la conférence sont consultables à ce lien  (voir p. 46-47) :

https://www.autismhelpforyou.com/AL%20-%201.pdf

Oui oui, vous avez bien lu : les ministères de la Santé du monde entier affichent fièrement la dose de 0,85 mg d’aluminium par vaccin comme étant une dose de sécurité, alors qu’il s’agit, très probablement, d’une dose de rentabilité pour les industriels. Il ne peut en aucun cas s’agir d’une dose de sécurité, dose qui nécessite un protocole particulier pour être fixée (après observation d’une Dose Sans Effet ou NOAEL chez la souris).

 

Par ailleurs, au cours de cette conférence, le Dr Baylor, toujours lui, nous informe que les adjuvants sont inutiles dans les rappels ! Mais que les industriels préfèrent ne fabriquer qu’un seul produit, plutôt que deux (qui aurait, par ailleurs, à subir des tests de toxicités, donc un coût supplémentaire).

 

Ah oui, et pour ceux qui pensent que les sels d’aluminium sont inoffensifs pour l’organisme en les comparant au chlorure de sodium (le sel de table)… eh bien, je les invite à goûter de l’hydroxyde de sodium, pour voir, et on en reparle…