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Résumé :

Les adjuvants aluminiques contenus dans les vaccins, neurotoxiques notoires, sont la cause la plus probable des troubles du neuro-développement chez les nourrissons (troubles du spectre autistique, TDAH…). Ces troubles en constante progression atteignent aujourd’hui plus d’un enfant sur 100 en France, et plus d’un enfant sur 59 aux USA (chiffres du CDC portant sur l’année 2014). Un solide corpus d’études internationales étayent cette conclusion. Et surtout : aucune publication ne parvient à démontrer l’innocuité de l’alu injecté. Devant l’avancée des connaissances, les industriels soutenus par les « sociétés savantes » qu’ils financent appliquent les techniques héritées des industriels du tabac pour créer l’illusion d’une controverse, retarder la prise de conscience du public ainsi que le retrait de leur produit chéri, garant d’une rentabilité maximale… Le tout au mépris de la santé et du développement de nos enfants.

L’industrie a toujours eu recours à des produits toxiques pour la santé. Tant que ça paye, pourquoi s’embarrasser ? Évidemment, cela finit par se remarquer et quand le produit commence à attirer un peu trop l’attention du public, les industriels actionnent tout un éventail de petites techniques ingénieuses pour protéger leur produit aux œufs d’or.

D’abord, ne pas nuire… aux profits

 – “Notre produit, c’est le doute, car c’est le meilleur moyen de rivaliser avec la somme de faits et d’informations qui occupent l’esprit du grand public. C’est aussi le moyen d’établir qu’il existe une controverse.” [i]

Dans ce célèbre mémo, les industriels du tabac dévoilaient la stratégie qu’ils avaient élaborée dès les années 50 :

Créer de toute pièce une fausse controverse scientifique là où en réalité, il n’y a aucun doute quant à la nocivité du produit en question.

Donc au final on ne sait plus qui croire, on maintient le statu quo et on retarde les réglementations sérieuses. Et pour ce faire, quoi de mieux, entre autre, que de financer une « science » sur mesure, dont les résultats sont déterminés à l’avance [ii] ?

Science sous influence

L’ennemi à abattre est clairement la science indépendante, comme en témoigne ce mail des Monsanto Papers [iii] :

– « Ces données produites par les chercheurs universitaires ont toujours été pour nous un problème majeur dans la défense de nos produits »

Tu m’étonnes ! Le tabac, l’amiante, le glyphosate ou les perturbateurs endocriniens : c’est toujours la même histoire.

Les chercheurs indépendants de l’industrie – financés par nos impôts – découvrent la nocivité d’un produit. Ils publient leurs découvertes. Les industriels enclenchent alors la machine à fabriquer de la controverse en finançant des études bien à eux… qualifiées évidemment de « science solide » (sound science), novlangue oblige.

Une science qui, au lieu de produire de la connaissance, produit de l’ignorance, « détournant le processus scientifique à des fins commerciales ».

Une science sale.

Science-washing, blanchiment de science sale

Pour obtenir une légitimité et être blanchie, cette « science sale » doit impérativement être publiée dans la littérature scientifique. Elle devrait donc, en théorie, être « vérifiée par les pairs », ce qui pourrait poser problème… Mais pourquoi s’embêter ?

Quand on en a les moyens, il suffit de financer certaines sociétés savantes produisant des rapports et publiant des papiers ad hoc dans leurs revues qualifiées de « capturées » par les journalistes et chercheurs qui étudient ce phénomène [iv]. Il suffira ensuite de trouver un expert ou deux prêts à signer le papier, écrit ou non par eux [v]. Peu importe d’ailleurs leur domaine d’expertise, tant qu’ils sont docteur ou professeur… on ne va pas faire la fine bouche.

Pour résumer, on appellera ces personnes les « co-labos ».

Une fois publiées, ces études viendront grossir les rangs des notes de bas de page des rapports officiels qui pourront s’appuyer dessus pour affirmer qu’il y a une controverse, voire un « consensus scientifique ».

Il faudrait tout un livre [vi] pour détailler tous les petits trifouillages de paramètres qui permettent aux industriels de protéger leurs chers petits produits : l’Aimsib nous en donne régulièrement quelques aperçus [vii]. Alors maintenant qu’on a vu la théorie, passons à l’étude de cas dans un domaine « controversé », sinon ce n’est pas drôle.

Les adjuvants aluminiques

S’il est un domaine dans lequel le doute n’a plus aucune raison d’être, c’est bien celui du danger des adjuvants aluminiques, surtout s’ils sont injectés à des nourrissons. C’est simple :

Il n’existe aucune étude de quelque nature que ce soit capable de démontrer l’innocuité de ce neurotoxique, lui-même capable d’inhiber 200 fonctions biologiques importantes [viii]. Nos pauvres industriels en sont même réduits à utiliser de l’aluminium en guise de placebo dans leurs essais cliniques [ix]… C’est dire !

Dans le camp des « pour », il n’y a tout simplement rien, nada, niet.

Dans le camp des « contre », on a une bonne centaine d’études internationales [x], publiées dans des revues à comité de lecture, depuis les années 90, documentant précisément la toxicité de l’aluminium particulaire injecté en intra-musculaire. Ajoutons qu’il y a également plusieurs centaines d’études sur les autres formes d’aluminium, car l’alu est toujours toxique, mais pas de la même façon suivant sa forme, sa fréquence et sa voie d’administration, ainsi que la santé et l’âge de la personne exposée.

Bref, c’est un sujet complexe qui exige évidemment un certain temps d’étude.

Les industriels le savent, le temps de l’aluminium est compté. Or l’aluminium est indispensable… aux profits industriels [xi]. Pour détourner l’attention du public, on a donc mis l’accent sur l’importance de la vaccination, l’interdiction de critiquer tout composant, le renforcement des obligations vaccinales, ainsi que toute une série d’arguments fallacieux que je détaille dans la vidéo « l’Alu Total » [xii]. Mais la propagande ne suffit pas : il faut faire semblant de faire de la science.

Et c’est là qu’interviennent les co-labos.

Les co-labos contre-attaquent

En septembre dernier, une offensive est lancée pour tenter de donner du poids aux allégations « pro aluminium ». Un papier intitulé « Aluminium et vaccins : ce que l’on sait aujourd’hui  »(retenez bien ce titre) est publié dans une petite revue [xiii] émanant de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui n’a évidemment, aucun conflit d’intérêt :

Ainsi Le Pr Jean-Pierre Goullé (toxicologue, membre de l’Académie de Médecine et de l’Académie de Pharmacie) et le Dr Liliane Grangeot-Keros (infectiologue, secrétaire perpétuelle de l’Académie de Pharmacie) se proposent donc de passer en revue la littérature scientifique sur le sujet très complexe des adjuvants aluminiques.

 

Goullé et Grangeot-Keros n’admettent aucun conflit d’intérêt, ils déclarent d’ailleurs avoir bossé gratos ! Ils n’ont surtout jamais rien publié dans la littérature sur les adjuvants aluminiques. Mais ils n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà participé au rapport de l’Académie de Pharmacie sur le sujet, en 2016 [xiv] … qui comme l’intégralité des rapports officiels, affirme que l’aluminium injecté est sûr, en se basant sur les 4 lapins de l’étude de Flarend, réalisée en 1997.

Cette étude, que je détaille dans la vidéo « L’Alu Total » et qui a fait l’objet d’une analyse critique publiée [xv], observe au contraire, que l’aluminium injecté n’est pas éliminé et migre dans le corps, avant d’entrer dans le cerveau.

Pas vraiment rassurant… Mais que voulez-vous, ils n’ont qu’une seule étude expérimentale qui conclut que tout va bien, alors ils la citent ad nauseam. Personne ne prend la peine de la lire, de toute façon…

La technique du picorage sélectif ou « cherry picking »

La première chose qui frappe dans cette revue qui prétend établir « ce que l’on sait aujourd’hui », c’est l’extrême petit nombre des références, ainsi que l’obsolescence de ces sources, sur un sujet aussi pointu.

Sur les 33 références de départ, il y a en tout et pour tout 5 études qui portent réellement sur les adjuvants aluminiques !

  • Flarend 1997 (étude in vivo flippante)
  • Hem 2002 (étude in vitro non réalisée dans des conditions biologiques)
  • Verdier 2005 (étude Aventis-Pasteur (devenu Sanofi) qui observe bien la très longue persistance de l’aluminium : pas franchement rassurant)
  • Gherardi 2001 : observe un ensemble de troubles neurologiques et musculaires chez l’Homme (Myofasciite à Macrophages, MFM) lié à la longue persistance des sels d’aluminium dans l’organisme.
  • Schoenfeld 2011 : définit un nouveau syndrome ASIA, le « syndrome de l’adjuvant » qui englobe la MFM.

Et bien sûr, les 3 sempiternels rapports officiels  : Académie de médecine/HCSP/Académie de pharmacie [xvi], tous focalisés sur l’étude de Flarend 1997… et qui commencent très sérieusement à dater dans un domaine où les plus importantes découvertes ont été faites ces 3 dernières années.

Quid des centaines d’études publiées sur les adjuvants aluminiques ces 20 dernières années ? Pas un mot sur ce qui incarne de fait la véritable littérature scientifique sur le sujet

Rien sur l’existence de ces études, rien qui expliquerait pourquoi elles ont été écartées [xvii] . C’est tout simplement comme si elles n’existaient pas.

Le reste des références n’a strictement rien à voir avec la choucroute. Je dois être une génie absolue pour être capable de comprendre qu’un sel d’aluminium particulaire injecté en intra-musculaire n’a probablement pas la même pharmacocinétique que l’aluminium soluble (sous forme ionique, 10 000 fois plus petit) ingéré par voie orale, ou injecté par intra-veineuse, ou même en sous-cutané, et qu’il est donc complètement spécieux (je suis gentille) de comparer ces différentes formes d’aluminium et ces différentes voies d’administration.

C’est un peu comme si une personne mourait d’une balle de plomb dans le cerveau, mais que l’autopsie, ne relevant aucune forme de saturnisme, concluait que le plomb de la balle n’a pas pu causer la mort de la victime… et donc une balle dans le cerveau, c’est pas risqué (si le type est mort, c’est juste une coïncidence).

Et je dois également être une super-génie pour comprendre qu’un nourrisson N’EST PAS un adulte miniature, que son cerveau et son système immunitaire sont beaucoup plus sensibles à toute perturbation toxique ou neurotoxique, et que toute étude sur un adulte (il n’y en a pas, je vous rassure…) ne pourrait pas être une garantie de sécurité pour un nourrisson, dont plusieurs barrières biologiques ne sont pas matures [xviii].

Ces multiples simplifications entraînent une confusion extrêmement grave qui témoigne d’une méconnaissance totale du sujet ainsi qu’un manque d’intérêt flagrant pour ce domaine complexe… ou bien une volonté justement de tromper le lecteur. Je me demande finalement ce qui est le plus grave.

OK BOOMER

Je rappelle que cette revue a pour titre « Aluminium et vaccins, ce que l’on sait aujourd’hui ».

Du coup, on se demande pourquoi, sur les 6 pages de l’étude, seuls 5 paragraphes sont effectivement consacrés aux adjuvants aluminiques…

Et encore, 2 d’entre eux sont consacrés à des études portant sur 2 vaccins particuliers, donc hors sujet également [xix]. Le reste du texte s’attarde sur les autres formes d’aluminium… et les autres voies d’exposition.

Et puis « aujourd’hui », pour moi, ça veut dire 2020. Mais pour Goullé et Grangeot-Keros, le cap du XXIème siècle n’est toujours pas amorcé, et au final, c’est encore et toujours l’étude de Flarend 1997 qui est utilisée pour rassurer le public.

En 2020, cela fait plus de 20 ans que des chercheurs internationaux étudient les adjuvants aluminiques, avec une très forte accélération depuis quelques années.

 

Pharmacological Research a censuré l’étude en mars 2019, sans aucune raison, à la demande d’un « lecteur anonyme »…

Heureusement, Journal of Inorganic Biochemistry vient de la republier. La guerre de l’information scientifique fait rage dans le domaine des adjuvants aluminiques. Que personne (de bonne volonté) ne se trompe : cette étude est parvenue à reproduire les troubles neurologiques observés après les campagnes de vaccination des moutons espagnols, avec un VRAI groupe contrôle ainsi qu’un groupe qui a reçu seulement les adjuvants aluminiques. Il n’y a plus de doute à avoir (le mouton est un gros mammifère… que penser d’un nourrisson de 5 kg ?)

C’est un véritable changement de paradigme qui s’est opéré ces dernières années, les recherches démontrant que la toxicité des adjuvants aluminiques relève de la toxicité des particules fines, bien plus complexe que la simple toxicité chimique classique, de « la dose qui fait le poison », la seule apparemment que connaissent Goullé et Grangeot-Keros.

Des doses de toute façon officiellement trop importantes, chez le nourrisson. [xxv]. Mais pour Goullé et Grangeot-Keros, 4 lapins et un seul mois d’étude sont largement suffisants pour affirmer que questionner la sécurité des adjuvants relève de « la polémique irrationnelle », invoquant comme justification « qu’on ne peut pas remettre en question la sécurité des sels d’aluminium des vaccins ». Esprit scientifique, es-tu là ?

De la science sale… Mais je garde le meilleur pour la fin, bien sûr.

Pas de science sale sans censure

Évidemment, les chercheurs n’ont pas tardé à réagir  : ils ont rapidement présenté, conjointement, une « lettre à l’éditeur » (trop) référencée [xxvi] afin de donner leur point de vue. C’est un peu comme ça que ça marche, la science : on discute, on donne son avis, on débat. Oui mais non, pas dans une « revue capturée ».

Dans ce cas, l’éditeur en chef qui n’a pas de conflit d’intérêt [xxvii], a tout simplement refusé de publier la réponse des chercheurs qui publient effectivement, depuis longtemps, sur le sujet.

Devant l’étonnement des chercheurs, et à leur demande, il a bien fallu donner une raison :

– « Le ton polémique employé dans cette lettre ne permet pas sa publication, car elle le (sic) reflète pas une discussion sur des bases scientifiques. Ces mêmes données scientifiques manquent dans l’argumentation. En conséquence MMI ne peut pas publier cette lettre ».

Qui sont les plus à même de s’exprimer sur un sujet complexe, si ce n’est les chercheurs internationaux indépendants qui publient régulièrement sur ce sujet, depuis des années, dans des revues à comité de lecture ? Ce sont eux qui ont construit si patiemment les connaissances scientifiques dont nous disposons aujourd’hui… et qui nous permettent d’affirmer sans l’ombre d’un doute, que « ce que nous savons aujourd’hui », c’est que « les adjuvants aluminiques sont extrêmement dangereux ».

Qui oserait publier une “revue” sans citer aucun de ces travaux ?

Qui oserait censurer la connaissance sur un sujet aussi crucial pour le développement neurologique et la santé de nos bébés ? Qui ?

Conclusion

J’ai un message personnel pour le Pr Goullé et la Dr Grangeot-Keros, et pour tous les co-labos qui affirment qu’injecter un neurotoxique à des êtres en plein développement neurologique est sans risque : Nous ne sommes plus en 1945, Internet n’oublie rien ni personne.

Vous jouez la santé de nos enfants à la roulette russe mais l’Histoire retiendra que les injections d’aluminium ont causé le plus grand génocide neurologique que l’humanité ait jamais connu… Ce poids, nous le paierons tous collectivement, très prochainement [xxviii]. Et sur le futur monument numérique dédié aux vendus du profit économique, gravé pour l’éternité dans la blockchain, vos noms trôneront en bonne position.

 

Notes et sources :
Pour en savoir plus sur la pharmacocinétique des adjuvants aluminiques et comment ils provoquent des troubles du neuro-développement (par activation précoce de la microglie cérébrale) : « L’Alu Total  » : https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

article publié sur le site de l’Aimsib : https://www.aimsib.org/2020/03/01/comprendre-pourquoi-le-science-washing-est-criminel/

Revue des Pr Goullé et Dr Grangeot-Keros « Aluminium et vaccins, ce que l’on sait aujourd’hui » (notez que ces personnes connaissent les chercheurs et leurs travaux… Ils ont donc sciemment omis de les référencer :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0399077X18308448?via%3Dihub

[i] Mémo du service marketing de Brown et Williamson, entreprise du tabac, 1969, cité par Robert Proctor dans Golden Holocaust, la conspiration des industriels du tabac, éditions des équateurs, p. 307
[ii] Une vidéo sympa explique très bien le « sciencewashing » : https://www.youtube.com/watch?v=1maqU4iGmac
[iii] Mail du toxicologue en chef de Monsanto, William Heydens en 2001, cité par Stéphane Horel dans Lobbytomie, éditions La Découverte, 2018, p.55
[iv] L’étude de “la production délibérée d’ignorance” a donné naissance à une discipline universitaire : l’agnotologie, terme inventé par l’historien Robert Proctor en 1992 https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnotologie
[v] Recours au Ghostwriting : un scientifique signe un papier rédigé par les membres d’une firme. les Monsanto Papers en donnent de très bons exemples.
[vi] Par exemple, Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte, 2018
[vii] https://www.aimsib.org/2020/02/16/les-vaccins-qui-ninduisent-jamais-de-sep-letude-allemande-qui-nous-a-fait-mourir-de-rire/
[viii] Kawahara 2011, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3056430/
[ix] Pour en savoir plus : https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/

Rapport de la FDA sur le Cervarix© :
https://www.fda.gov/downloads/biologicsbloodvaccines/vaccines/approvedproducts/ucm237976.pdf

Rapport sur le Gardasil© (protocole 15, p.38)
https://www.scribd.com/document/367386168/V501-015-00-PRO-VD?secret_password=j4BXCUs76g4wRtDxk5cy
[x] https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/

Et encore, je n’ai pas encore eu le temps de mettre la liste à jour… En attendant :
https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2019/07/2019.07-MAJ-connaissances-planches.pdf
https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2020/02/2020.02-Bulletin-scientifique-planches.pdf

[xi] Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
[xii] https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
[xiii] Revue Médecine et maladies infectieuses – Impact Factor 2018 de 1,289 (c’est donc une revue peu influente)
[xiv] Énième rapport officiel qui a fait grincer des dents les scientifiques et les victimes : https://www.vaccinssansaluminium.org/lettre-e3m-academie-pharmacie/
[xv] Masson 2017 : https://www.researchgate.net/publication/317281644_Adjuvants_aluminiques_des_vaccins_analyse_critique_des_etudes_toxicocinetiques_de_reference
[xvi] http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
[xvii] https://alutotal.wordpress.com/le-danger-des-adjuvants-daluminium-liste-des-sources/
Chapitre “études qui témoignent de graves problèmes avec les adjuvants”…
[xviii] Cela dénote surtout une obsolescence des connaissances relatives au système immunitaire, uniquement perçu comme « défense contre les virus et bactéries », alors qu’on sait bien aujourd’hui que ce système a d’autres fonctions très importantes, notamment dans l’élaboration du cerveau, ou dans le déclenchement de l’accouchement.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2014/02/medsci20143002p153/medsci20143002p153.html
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2014/02/medsci20143002p147/medsci20143002p147.html
https://www.pourlascience.fr/sd/neurosciences/quand-les-cellules-immunitaires-remodelent-le-cerveau-12420.php
https://www.institutcochin.fr/linstitut/actualites/accouchement-est-il-assimilable-a-un-rejet-de-greffe
Que penser alors d’une vaccination de la femme enceinte, susceptible de modifier le “verrou immunologique” qui protège le foetus, ou d’activer une réponse inflammatoire maternelle, capable de modifier le développement du cerveau du fœtus ?
[xix] En effet, citer des études sur les vaccins anti-HPV ou anti-hépatite B est fallacieux : ce ne sont pas des études portant sur les adjuvants aluminiques (ça alors !). Elles ne prennent absolument pas en compte ce facteur et les groupes dits « de contrôle » sont donc pollués par l’aluminium des autres vaccinations potentielles (lors des rappels inscrits au calendrier vaccinal).
[xx] https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/12/2013.04-Zakir-Khan-FR.pdf
[xxi] https://vaccinepapers.org/wp-content/uploads/Non-linear-dose-response-of-aluminium-hydroxide-adjuvant-particles-Selective-low-dose-neurotoxicity.pdf
[xxii]  https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S016201341930501X?via%3Dihub
L’étude est disponible ici : https://docdro.id/r7D498k
[xxiii] https://www.researchgate.net/publication/328269256_Aluminium_in_brain_tissue_in_autism
[xxiv] https://alutotal.wordpress.com/autisme-et-adjuvants-daluminium-des-vaccins/

Le nombre d’études sur le rôle de l’activation microgliale précoce dans l’apparition des troubles autistiques a explosé en 2019 ! Tapez « microglia + autism » dans pubmed…
[xxv] Exley 2020 : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0946672X19304201?via%3Dihub
[xxvi] Chaque revue a sa politique maison. Chez Médecine et Maladies infectieuses, une « lettre à l’éditeur » n’ a pas le droit de citer plus de 7 références… C’est bien dommage pour la science.
[xxvii] Jean-Pierre Stahl, déclaration d’intérêts de la part des industriels sur Transparence santé
STAHL Jean-Paul, rédacteur en chef revue Médecine et Maladies Infectieuses, 21 033 € d’avantages – 33 080 € de rémunération – 97 conventions dont on ne connait pas le montant. En particulier GSK pour « collaboration scientifique »
[xxviii] Aux USA, c’est plus d’un enfant sur 59 qui est officiellement autiste. En France, on tournerait autour des 1 %… pas de chiffre officiel, pas de problème. Le coût de tous ces troubles chroniques est juste en train de faire exploser nos modèles de sécurité sociale…Pour en savoir plus, téléchargez l’état des lieux des connaissances, rédigé par un docteur en médecine, et diffusez ces connaissances au maximum : https://docdro.id/IAJtG5H

Un petit dernier pour finir, extrait du JIM malgré une énorme influence des firmes du médicament (comme quoi, même une revue capturée peut avoir un sursaut de conscience : y’a de l’espoir !) :
https://docdro.id/CdhW8tu

Crédit photo : extrait de la série Breaking Bad